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| Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. | |
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| Sujet: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 17:23 | |
| Louka Brandon Lancaster FEAT Isaac Hemstead-Wright Carte d'identité date et lieu de naissance: 21 Juillet 2000, Rockhampton âge: 13 ans nationalité: Australien groupe sanguin: AB+ métier ou études: Ecolier orientation sexuelle: Hétérosexuel statut: Célibataire situation financière: Moyen groupe:Life slips away THIS IS WHO I AM
Louka Brandon Lancaster. Ce nom ne vous dit peut-être rien, peut-être vous fait-il pester à sa simple entente. Non pas que Louka soit un enfant désagréable, c’était même plutôt un gentil garçon. Il avait seulement filé la frousse de leur vie à la plupart des enseignants de son établissement, pas mal d’infirmiers et médecins sans oublier ses parents. Donc gentil, mais parfois insupportable quand il se mettait en tête d’aller escalader les murs, les arbres ou autre sous prétexte que s’il tombait, il ne se ferait pas mal.
Car voilà, Louka ne se faisait jamais mal. Il pouvait faire une chute de deux mètres sans rien ressentir, se relevant le sourire aux lèvres, souvent en rigolant, même s’il se faisait une fracture. Il ne se rendait pas toujours compte que ça pouvait être grave. Souffrant d’une insensibilité congénitale à la douleur, c’est pour cette raison qu’il a été interné dans l’hôpital Waters, dans cette même ville où il est né et a grandi. Il trouve ça plus qu’injuste, ne comprend pas pourquoi il doit rester ici. Bien sûr il comprend que sa maladie comporte des risques non négligeables, mais si on lui disait les simples précautions à prendre, il pourrait vivre avec ! Il ne comprenait pas pourquoi il devait rester dans un hôpital, avec ceux dont l’existence était condamnée.
Louka était sinon, un enfant joyeux. Quand il n’était pas renfrogné sur lui-même, vexé par la décision parentale, il était toujours prêt à s’amuser et à épater la galerie. Depuis qu’il est dans cet hôpital, son nombre de fractures/mois avait nettement diminué, bien qu’il n’atteigne pas encore une conduite irréprochable. C’était un adolescent, une tête brûlée, intrépide et inconscient. Evidemment que ce n’était pas un ange ! D’ailleurs il n’hésitait pas à se battre pour protéger certains de ses idéaux ou ses amis. Il ne maîtrisait pas du tout le subtile et difficile exercice de manipuler les mots, et il « profitait » de sa maladie pour effrayer ses adversaires. Il fallait dire que pouvoir se prendre un coup de poing sans sourciller n’était pas donné à tout le monde. Même si Louka aurait préféré être un enfant normal et en dehors de cet hôpital, surtout depuis qu’on lui a énuméré les risques qu’il y avait et les nombreuses précautions à prendre pour éviter quelques blessures stupides et pourtant dangereuses dans son cas.
Etant un adolescent plutôt amical et agréable, il lui arrive néanmoins d’avoir une arrogance propre aux enfants de son âge, pensant tout connaître et n’aimant pas qu’on le bride ou qu’on lui dise de rester tranquille. Il n’aime pas tant que ça l’autorité, aime faire des bêtises quand elles n’ont pas trop de conséquences. Il s’était un peu calmé depuis qu’on l’avait mis dans cet hôpital, espérant que ses parents le retireraient de là en voyant qu’il ne s’amusait plus à se faire une fracture minimum par semaine. Malheureusement pour lui, ils ne semblaient pas vouloir le sortir tout de suite.
Egalement railleur, il aime bien se moquer, amicalement et jamais sérieusement, des gens. On lui dit parfois qu’il est d’une franchise désarmante, alors que la vérité est plutôt qu’il parle sans réfléchir, en bon impulsif qu’il est. D’ailleurs, il aime bien parler, Louka pourrait être considéré comme quelqu’un qui déteste rester inactif, il a toujours besoin de bouger ou de parler. Il est très curieux et ce n’est pas rare qu’il assomme les gens avec ses interrogations presque constantes. Il adore aussi faire du sport, malgré le fait que la plupart lui soit interdit du fait de sa maladie. Il n’hésite pourtant pas à aller courir, jouer au foot ou grimper aux arbres dans la cour, bien qu’on lui déconseille fortement cette dernière activité, mais comme il fait plus attention depuis qu’il est à l’hôpital et qu’il est difficile de le faire tenir en place, on le laisse faire, tout en le surveillant du coin de l’œil.
Côté physique, cet Australien brun aux yeux sombres, souvent souriant, a une petit bouille angélique et il est difficile de rester longtemps fâché devant son petit sourire penaud et ses yeux de chien battu. Il est souvent qualifié de mignon, mais il n’en a pas forcément conscience. Sa coiffure, elle est naturelle. Il ne fait rien pour se coiffer, mais rien pour se rendre encore plus ébouriffé qu’il ne l’est déjà. Il a un tic faisant qu’il est incapable de mentir à quelqu’un les yeux dans les yeux, sans frémir, il baisse toujours le regard vers le sol avant, ce qui est tout à son honneur d’après certains adultes. |
WHAT'S WRONG WITH ME?
Dossier Médical: Louka Lancaster souffre d’une insensibilité congénitale à la douleur. Souffrir, quel terme ironique quand on y pense, n’est-ce pas ? Parce que Louka ne sent pas la douleur. Il peut faire une chute, tomber sur le bras et se faire une fracture, et se relèvera comme si de rien n’était. Il peut marcher et courir avec une entorse à la cheville, le sourire aux lèvres. Il peut se casser un bras sans s’en rendre compte, aussi. Dit comme ça, on pourrait croire que c’est parfait n’est-ce pas ? Et pourtant… La douleur est une information, plus elle était forte et plus la blessure était grave, c’est comme ça que cela fonctionnait dans la plupart des cas. Mais dans son cas, le symptôme d’alarme le plus commun, cette douleur, n’est pas présente. Il n’est donc pas informé de ce qui passe dans son corps, et ce n’est pas sans risque. C’est vrai, pourquoi soigne-t-on une jambe cassée ou une fracture quand la douleur ne gêne pas le blessé ? Quand on ne s’y connaissait pas, on pourrait dire que ce n’est pas grave. Et pourtant, que faire si l’os ne se ressoude pas bien ? La plupart du temps, recasser pour faire en sorte que tout redevienne normal. Et Louka, comme tous les êtres humains, est dans l’impossibilité de marcher normalement avec un plâtre, sensible à la douleur ou pas.
Lucas vivait avec jusqu’à ce que ses parents décident de le faire interner à l’hôpital de la ville, après une enquête sociale qui poussèrent à bout les parents du jeune homme, il y a de ça un an et demi. Depuis, il a beau dire qu’il va bien et que ce n’est pas la peine de le faire vivre tout le temps à Waters, personne ne l’écoute. Malgré le temps, il continue à demander à sortir quand sa mère vient le voir, il a toujours l’espoir de ne pas finir sa vie dans cet établissement. Surtout que les personnes atteintes de cette maladie on théoriquement une espérance de vie proche de la normale, mais la moyenne prouve le contraire, une trentaine d’années seulement, pas à cause de la maladie en elle-même mais d’autres maladies ou blessures que le patient n’a pas pu déceler pour cause d’absence de douleur, d’absence de signal d’alarme. Et malheureusement, cette maladie, qui est principalement de cause génétique, n’a pour l’instant aucun traitement.
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That's the thing about pain, it demands to be felt Louka est né un 21 juillet, l’année du changement de millénaire. Et ce jour-là, ses parents ne se doutaient pas des problèmes et des larmes qu’il causerait, ne pensant qu’à la joie et aux rires, et ils avaient raison. Qui, à une naissance, pensait vraiment au malheur que pourrait apporter le petit être qu’ils tenaient dans les bras ? OOOoooOOO Des bruits de pas retentirent dans le couloir d’une école élémentaire de Rockhampton. Habillé simplement et un sac sur l’épaule, elle semblait un peu pressée et était accompagnée d’un homme, éducateur de l’école. On la fit entrer dans une salle de cours où l’attendait un professeur et son fils, un petit garçon brun à l’air rêveur, tous deux assis. L’enfant, tout sourire, se leva. « Maman ! »L’enseignant lui, fut bien plus réservé et professionnel. « Bonjour Mme Lancaster. Comme je vous ai transmis au téléphone, nous sommes ici pour parler de votre fils Louka. »Chloé Lancaster acquiesça, serra la main de l’enseignant et jeta un coup d’œil sévère à son fils, avant de lui sourire et de s’asseoir à côté de lui, pour bien lui montrer qu’elle allait parler à son professeur et non le disputer. Enfin pas dans l’immédiat. Louka avait un œil au beurre noir et le poignet violacé, mais si la mère s’inquiétait, elle ne dit rien. L’enseignant soupira et joignit ses mains sur la table qui le séparait des deux Lancaster. « Allons droit au but. Je vous ai demandé de venir ici parce que votre fils Louka s’est battu, et ce pour la deuxième fois de l’année. - Vous m’en voyez désolée… Pourtant Louka n’est pas un enfant violent. »Elle disait vrai. Les deux adultes jetèrent un regard à l’enfant, qui ne se sentais pas concerné par ce qui se passait et qui, du haut de ses six ans, regardait par la fenêtre, l’air jovial. Il ne se rendait pas compte. « Oui, et c’est bien ça qui nous inquiète. Il dit qu’il s’est battu parce qu’on ne le croyait pas. »Ce terme intrigua immédiatement la mère qui se pencha en avant alors que l’enfant reportait ses yeux bruns sur les adultes. « Il avait apparemment annoncé qu’il ne ressentait aucune douleur quand on le frappait. »Chloé Lancaster jeta un regard étonné sur son fils. Elle avait bien remarqué que Louka ne pleurait jamais quand il tombait, s’écorchait ou se faisait une bosse. Il ne pleurait que quand il avait faim. Et il disait tout le temps qu’il n’avait pas mal, même quand le sang perlait des plaies. « D’ailleurs il n’a pas poussé un cri malgré ses hématomes. »Il est vrai que n’importe quel enfant aurait été en pleurs, surtout que la blessure au poignet de Louka semblait être assez grave. Mais puisque que le garçon ne se plaignait pas, personne ne s’était inquiété… Et son œil au beurre noir était, moins inquiétant certes, mais donnait à réfléchir sur la carapace d’émotions ou la résistance du garçon. « Je vous conseillerais quand même d’aller voir un médecin et de lui faire comprendre que se battre, ça ne se fait pas. »Et après quelques minutes de paroles sans grande importance, les Lancaster repartirent, directement chez leur médecin. Chloé Lancaster ne disait rien, elle ne disputait même pas Louka, trop préoccupée par la marche violette au poignet de son fils. Ça ne pouvait pas être un simple bleu, ça faisait plutôt penser à une entorse. Louka babillait sans s’arrêter, racontant sa journée et pourquoi il s’était battu, racontant des petites anecdotes et posaient toutes les questions qui lui passaient par la tête, auxquelles sa mère répondait patiemment. Et il s’était avéré que, même si le garçon ne ressentait pas la douleur, il avait effectivement une entorse au poignet. Encore un mystère à rajouter aux blessures de Louka, pensa amèrement Chloé. OOOoooOOO « Mais Maman, ça fait pas mal ! »La femme, sa mère, s’accroupit pour se retrouver à la hauteur du garçonnet, âgé de sept ans maintenant. « Ecoute Louka, ce n’est pas parce que tu n’as pas mal que ce n’est pas grave. Tu ne sens peut-être rien, mais tu n’es pas invulnérable pour autant. Tu n’es pas un super-héros Louka. »Louka ne répondit pas, et se laissa faire quand sa mère appliqua du spray désinfectant sur ses genoux et bander sa main écorché. Il s’était juste fait ça en jouant au foot avec ses copains, et c’est uniquement quand sa mère est venu le chercher qu’il s’est rendu compte qu’il s’était blessé. Il ne comprenait pas trop en quoi c’était dérangeant de ne pas avoir mal, c’était même plutôt bien non ? « En fait tu préférerais que je souffre ? »Il n’y avait aucune tristesse dans le ton du gamin, juste de la curiosité. Il ne comprenait pas encore tout ce qui se passait, en petit garçon de 8 ans qu’il était. Le père de l’enfant n’était pas souvent là, son travail lui prenait beaucoup de temps. Chloé Lancaster soupira, et regarda Louka dans les yeux. « Bien sûr que non Louka. Mais te voir aussi insensible m’inquiète. - Je ne suis pas insensible. Je pleure et j’ai des émotions. - Ce n’est pas ce que je voulais dire… »Louka ne comprenait pas. Il pencha la tête sur le côté. « Ce que je veux dire, c’est que ce n’est pas normal de ne rien ressentir. - Je ne suis pas normal ? »Elle hésita. Elle secoua la tête, sourit, et finit de bander la main de son fils, avant de lui dire qu’il était libre. Il poussa un petit cri de joie, oublia toute la conversation qu’il venait d’avoir et sortit jouer dehors, avec son chien. OOOoooOOO « Maman je te dis que je ne veux pas y aller ! Je ne veux PAS ! »Louka, 11 ½, pestait et se cabrait, mais rien à faire, il ne pouvait pas résister à la force de son père, qui le trainait à moitié dans la rue. Ses parents en avaient longuement discuté avant de lui en parler aujourd’hui. L'enquête sociale à propos du garçon et de ses blessures, c'était la goutte qui avait fait déborder le vase. Si le garçon s’en doutait bien, il pensait qu’il allait juste passer un petit séjour à Waters. Pas se faire interner . « Mais je ne suis pas fou ! Pourquoi vous voulez me mettre avec les schizophrènes ? Comme si j’allais être en sécurité là-bas ! » Mais évidemment, la décision était prise, et rien ne les ferait revenir sur leur décision. « Je ne serais pas heureux là-bas ! JE NE VEUX PAS ! »On leur lançait des regards. Son père lui serrait le poignet fermement, mais évidemment il ne sentait rien. Louka le regarda avec un air de défi. Manquerait plus qu’il lui casse le poignet sans le faire exprès. Il ne voulait pas se faire interner, pas avec les fous. Comme on disait. Il faut dire qu’il y avait été quelques fois à l’hôpital, mais il y avait des rumeurs à ce propos. « Je ne veux pas ! Et puis tu me feras sortir quand ? A ma majorité ? »Il fulminait. Et puis même s’ils ne voulaient pas le sortir de là à sa majorité, lui, il sortirait. Il pouvait très bien vivre avec des visites régulières et des précautions. Pas besoin d’être enfermer, d’être en prison. Et pourtant, il n’arrivait pas du tout à résister, il ne pouvait rien faire. Et en le faisant entrer dans cet hôpital, il se demanda dans combien de temps il y resterait, sans plus rien dire. Quand ses parents partirent, il ne leur adressa même pas la parole. Et un an et demi plus tard, il y était toujours. |
| | | Oliver W. Johnsonsome old wounds never truly heal, and bleed again at the slightest word. ✉PETITS PAPIERS : 311 ✉DATE D'ARRIVÉE : 06/07/2013 ✉POINTS : 2
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 17:29 | |
| AWWWWWW MATHIIIILDE. Ouais on est forte pour la propagande. :bene: Excellent choix de PV. Bienvenue parmi nous. |
| | | Elsa Roseburrywe're all stories in the end ✉PETITS PAPIERS : 600 ✉DATE D'ARRIVÉE : 12/07/2013 ✉POINTS : 52
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 17:34 | |
| Bienvenue parmi nous |
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| | | | H. Euphemia LancasterHEL ✝ y'all smoke to enjoy it. i smoke to die. ✉PETITS PAPIERS : 304 ✉DATE D'ARRIVÉE : 06/07/2013 ✉POINTS : 7
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 17:54 | |
| LAURA ET JILLY C'EST LE BIEN Lauly, j'aime ça :bene: MATHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILDE :twisted: jetehais bonokayjet'aime et ma propagande elle est trop bien bienvenuuuuuuuuuuuuuuuue |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 19:05 | |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 19:15 | |
| Bienvenuuuuuue |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 19:50 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 19:52 | |
| Bienvenue chez les fous |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 20:07 | |
| OMG, je suis folle de ce gosse Welcome Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mar 16 Juil - 20:36 | |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mer 17 Juil - 9:45 | |
| Excellent choix de pv :hana: Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mer 17 Juil - 17:21 | |
| Merciiiii |
| | | Thanatos M. Vassilievskimy skull is full of sunken ships ✉PETITS PAPIERS : 543 ✉DATE D'ARRIVÉE : 16/07/2013 ✉POINTS : 123
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mer 17 Juil - 17:58 | |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Mer 17 Juil - 19:07 | |
| HAN ! Au bûcher ! /sbaf Merciiiii ! |
| | | H. Euphemia LancasterHEL ✝ y'all smoke to enjoy it. i smoke to die. ✉PETITS PAPIERS : 304 ✉DATE D'ARRIVÉE : 06/07/2013 ✉POINTS : 7
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Jeu 18 Juil - 16:14 | |
| Validé IL BAISSE LES YEUX AVANT DE MENTIR pardon j'ai bloqué là dessus Maintenant que ta fiche est validée, il serait préférable que tu lises le règlement mais surtout le contexte si ce n'est pas déjà fait. Il y a également des annexes mises à disposition pour mieux comprendre dans quel univers évoluera ton personnage. Penses également à aller lire le topic concernant les décès et mariages irp, ainsi que celui sur les changements de groupe, qui pourront s'avérer utiles plus tard. Tu peux désormais aller poster ta fiche de liens, utile pour avoir des relations avec les autres personnage du forum et une une fiche de sujet si tu le souhaites, afin de regrouper tes topics en cours et que l'on puisse t'en demander. Tu peux faire une demande de logement ou une demande de chambre pour les patients internes à la clinique, mais également une demande de rang si tu le souhaites. Si ton personnage travaille au sein de la clinique, penses à aller faire une demande de métier. Si ton personnage travaille ailleurs dans la ville, le même système de demandes a été mis en place. En ce qui concerne le hors-jeu, penses à aller faire un tour dans le flood et les jeux, c'est bon pour l'activité et l'intégration. La chatbox accueille également volontiers les nouveaux. Et sinon, bon jeu parmi nous ! |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. Jeu 18 Juil - 16:27 | |
| Merci bien ! Et laisse mon tic tranquille. |
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| Sujet: Re: Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. | |
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| | | | Louka - Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre. | |
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