| Sujet: Essayez, vous, de devenir fou sans pouvoir:c'est chiant, personne ne vous écoute ► peeta Jeu 18 Juil - 15:39 | |
| ▲▲▲Car la vie est ailleurs dans un âge lyrique et seule sans prières tu renonces et abdiques Car la vie est ailleurs dans un âge lyrique et tu gardes tes prières pour des pensées magiques. La petite escapade de Zola n’était pas passée inaperçue dans le service. Des têtes étaient tombées, l’attention portée au jeune homme avait été doublé. Ainsi, il n’avait plus le droit de sortir dans la cours extérieur et on faisait extrêmement attention face à qui il se trouvait. Autant dire que cela faisait une semaine que le brun était encore pus en prison que précédemment. Cependant, la seule chose à laquelle il arrivait décemment à penser c’était à la fille qu’il avait rencontré. Jusqu’à présent, Zola avait tout fait pour ne pas en parler, préférant mourir plutôt qu’une infirmière et par la suite son psy n’apprennent la chose. Ainsi, après sa journalière rencontre avec son psychiatre, Zola eu droit à une bonne heure de répit. Liberté qu’on lui offrait pour sa bonne conduite depuis qu’on l’avait repêché en plein centre ville. C’est pourquoi, peu désireux d’être encore tout seul, le brun se dirigea naturellement vers l’espace de vie. Certes, il avait quartier libre pour une heure, mais l’infirmière qui le suivit jusqu’à la salle orangé avant de s’arrêter à la porte pour être sur qu’il ne faisait pas de bêtise l’irrita énormément. Soupirant, il scruta a salle du regard, à gauche et à droite se trouvait des patients qu’il connaissait plus ou moins bien. Certains étaient plus gravement atteint que d’autres, certains n’étaient pas la car ils n’étaient mentalement pas apte à se trouver en compagnie d’autant de personne. Par moment, Zola se demandait sincèrement ce qu’il fichait là ou même pourquoi tous les patients ne réagissaient pas à leur traitement. Certes, ils étaient logés et nourris, mais après ? Ils étaient enfermés, surveillés, à croire qu’ils vivaient dans une prison pour les tarés. Sauf que lui n’était pas taré, enfin il ne se considérait pas comme tel. Il ne foutait pas le feu aux voitures pour le plaisir, n’allait pas égorger des gens dans leur sommeil. Tout au pire il lui arrivait de se battre et alors ? C’était un gars comme les autres qui réglait certaines affaire par les poings, c’était son problème. Fallait encore que son psychiatre l’admette, mais c’était loin d’arriver. C’est résigné qu’il trouva un ami du regard. Affichant un léger sourire, il s’installa dans le fauteuil à côté de celui de Peeta avant de poser ses pieds sur la table basse recouverte d’une épaisse couche de mousse. Au cas où un des cinglés tenterait de se défoncer le crâne dessus. Passant une main dans ses cheveux devenus courts depuis son arrivé en ces lieux, il se retourna vers son ami passant les salutations pour directement commencer dans le vif du sujet : Je suis resté enfermé une semaine dans ma chambre juste parce que je voulais aller en ville. Je me demande c’est qui les vrais tarés. Eux ou nous ? Zola se rendait bien comptait qu’il avait encore de la chance de ne pas avoir été contraint de rester plus longuement isolé du reste des patients. Les membres du personnel craignaient ses excès de colère et après s’être fait attrapé en ville, le jeune homme avait eu du mal à digérer la pilule en perdant sa belle liberté. L’envie de s’allumer une cigarette le démangea, mais il savait qu’au moindre faux pas il allait se retrouver à nouveau enfermer dans sa chambre toute la journée. De plus, provoquer les surveillants en fumant juste sous leur nez n’était pas la plus brillante des idées qu’il puisse avoir, mais cette vie là le fatiguait tellement. Tu m’as manqué buddy pendant cette semaine. Sérieux, c’est horrible d’être mis en quarantaine, mais il semblerait que j’ai assez fait le bon toutou. Tournant son visage vers son ami, il tendit naturellement son bras vers celui-ci pour lui ébouriffer la tignasse.
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