Loan Mackenzie Everdeen
Carte d'identité
date et lieu de naissance: 20.06.1988 à Sydney
âge: 25 ans.
nationalité: australienne
groupe sanguin: B+
métier ou études: orientation sexuelle: statut: situation financière: groupe:THIS IS WHO I AM
Ici c'est la partie où vous parlez de votre personnage en général. N'hésitez pas à bien détailler son caractère mais aussi ses caractéristiques physiques, ses manies, son mode de vie. C'est en gros l'une des parties les plus importantes de votre fiche avec l'histoire, celle qui nous permettra de cerner votre personnage. Rédigez cela en 10 lignes minimum. |
WHAT'S WRONG WITH ME?
Dossier Médical: Partie concernant uniquement les membres du groupe Life slips away et Glory in illness, les autres peuvent la supprimer, sauf si leur personnage a également un antécédent médical. Parlez ici en 10 lignes minimum de la maladie de votre personnage, de son combat avec et de ses chances de guérison.
Responsabilités: Partie concernant uniquement les membres du groupe Kissing death, les autres peuvent la supprimer. Parlez ici en 10 lignes de votre poste au sein de la clinique Waters et de la raison pour laquelle vous avez décidé d'y travailler.
Opinion: Partie concernant uniquement les membres des groupes Hear me roar, Love lost believers et Turn to reality, les autres peuvent la supprimer à moins de vouloir exprimer le point de vue de leur personnage. Parlez ici en 10 lignes de votre opinion sur la clinique Waters et des actions que vous engagez pour soutenir cet avis. |
That's the thing about pain, it demands to be felt
393 PITT STREET, SYDNEY - 17 MAI 1996
Observant le frigo, Loan se trouvait assise à la table de la cuisine et dessinait tout en terminant sa mandarine. Son quatre heure avalé, son regard déviait vers l'armoire qui contenait la seule et unique tablette de chocolat de la maison.
« J'ai le droit à un morceau de chocolat? » Les sourcils d'Inès se fronçaient, alors qu'elle poussait un soupir lassé, lassée d'entendre Loan lui demander la même chose chaque jour lorsqu'elle connaissait parfaitement la réponse.
« Nous sommes mardi, tu connais la réponse Loan. » Baissant les yeux sur son cahier, la petit âgée de huit ans reprenait son coloriage d'un air abattu, bien qu'elle aie su avant même de le demander qu'elle n'y toucherait pas, effectivement. Elle avait le droit à un bout de chocolat - fondant, oublions noisettes, au lait et compagnie - chaque dimanche et c'était l'unique sucrerie qu'elle toucherait de la semaine.
« C'est pour ton bien, tu le sais parfaitement ma chérie. » Ajoutait sa mère, comme pour se faire pardonner. Âgée de 26 ans, grande, enlacée et mannequin, inès avait toujours veillé à ce que sa fille aie un corps parfait et prenne de bonnes habitudes et ce dés le plus jeune âge. Henry n'approuvait pas toujours, mais la plupart du temps, son père se contentait simplement d'approuver, l'apparence étant on ne peut plus importante à ses yeux. Quelle surprise pour un chirurgien plastique.
« Prépare ton sac, il est presque 17h00. » Signalait Inès, rendant la jeune fille encore plus amère qu'elle ne l'était déjà. S'il ne s'agissait que de la privation de nourriture... mais non, il fallait aussi qu'elle enfile ce stupide tutu rose trois fois par semaine pour suivre un cours de danse qu'elle détestait par dessus tout mais "qui lui donnerait un corps de rêve". Elle s'en moquait, elle n'en voulait pas. D'aussi loin qu'elle s'en souvienne, Loan avait pourtant toujours évité les bonbons, le chocolat, le coca-cola, elle était mise au lit de bonne heure afin d'être en forme - " d'avoir bonne mine " - et était réveillée tôt pour que sa mère puisse s'occuper de ses cheveux durant près d'une heure chaque matin. " Tu me remercieras plus tard " était sans doute la phrase préférée d'Inès, qu'elle ne supportait plus d'entendre. Il ne lui restait que dix ans à tenir.
MARTIN PLACE, SYDNEY - 22 FÉVRIER 2005
Encore dans les cartons malgré qu'ils aient déménagé il y a de cela deux mois, Loan profitait de cette journée libre pour en déballer quelques un et arranger sa nouvelle chambre - digne d'une chambre de princesse. Une certaine caisse l'interpellait avec son prénom inscrit dessus mais possédant l'écriture manuscrite de sa mère, alors qu'elle savait parfaitement avoir écrit elle-même son nom sur chacune de ses affaires. L'ouvrant, elle tombait sur des photos d'elle bébé, à la maternité ainsi que sur de la paperasse médicale. Elle finissait par prendre dans ses mains un bracelet en plastique minuscule sur lequel était indiqué « brooklyn lyla ioannis ». Perplexe, la jeune femme reprenait à nouveau la photo qu'elle venait de ranger pour l'analyser et constaté qu'elle portait effectivement ce dernier autour du poignet. Loin de la vérité, l'australienne partait en furie au salon où se trouvait sa mère, bien décidée à obtenir une explication. Ioannis? Est-ce que son nom avait été changé après sa naissance? Son père l'était-il vraiment ou etait-ce un autre homme? Des tonnes de questions lui traversaient l'esprit et Loan comptait bien obtenir des réponses à chacune d'elles. Claquant le bracelet ainsi que la photo sous les yeux de sa mère, elle braquait un ses yeux marrons sur cette dernière, accrochant son regard dés que celle-ci relevait la tête effarée.
« Depuis quand tu fouilles dans nos affaires Loan? Cette caisse ne t'appartient pas. » Levant les yeux au ciel, la jeune femme hallucinait complètement et ne pouvait s'empêcher de monter le ton, chose qu'elle n'avait jamais osé faire en 16 années.
« Oh n'essaye pas de t'échapper avec tes foutues règles! Je n'ai pas fouillé dans tes affaires, c'était dans ma chambre avec mon prénom! Du moins si c'est réellement mon prénom... Loan ou Brooklyn maman? Tu as une explication à ça?! » Son regard glissait sur le bracelet avant de le braquer à nouveau sur sa mère. Elle ne s'était jamais montrée si froide, menaçante et juste désobéissante mais cette fois-ci, elle ne se tairait pas, pas avant d'avoir obtenu une réelle explication.
« Mon ange, on devrait attendre que ton père rentre pour en discuter. » Mon ange? Elle venait de lui hurler dessus et la seule chose qu'elle trouvait à faire était d'aborder cet air désolée et l'appeler mon ange? Inès venait de plaider coupable dans sa réaction, s'écrasant complètement face à la furie de sa fille.
« Si tu ne me donnes pas une réponse tout de suite, je passe cette porte et ne compte pas sur moi pour revenir tant que je n'ai pas trouver une réponse. » De la tristesse - ou la culpabilité, elle n'en avait aucune idée -, le visage de sa mère venait de se transformé et transpirait la peur, la crainte que Loan puisse réveiller de vieux démons qui leur gâcherait la vie à tous. Invitée à s'asseoir, Loan ne prononçait pas le moindre mot dans la demi heure qui suivit, écoutant chaque mot, chaque excuse de sa mère. Elle ne pouvait être que désemparé face à ses larmes mais surtout face à cette nouvelle. Dans quelle famille de dingue vivait-elle? Elle n'avait jamais douté que sa mère n'était pas tout à fait normal, son éducation était complètement folle, mais là, ça dépassait tout ce qu'on puisse s'imaginer. Lorsque leur fille était morte-née, Henry avait simplement échangé le bracelet de cette dernière, à la demande d'Inès, avec celle d'un des bébés Ioannis " parce que ce n'était pas juste qu'ils aient cette double joie lorsqu'elle avait tout perdu ". Ils l'avaient délibérément volée à une famille qui avait pleuré sa perte, il l'avait arrachée à sa moitié puisqu'elle avait donc une soeur jumelle, ils lui avaient volé son identité, l'éducation qu'elle aurait du avoir. Loan n'en revenait pas et quittait la pièce sans la moindre réaction, pas un mot adressé à cette femme qu'elle avait si longtemps maudit et qu'elle haïssait du plus profond de son âme à présent.
MARTIN PLACE, SYDNEY - 1 MAI 2007
Prenant l'ascenseur, Loan se rendait dans cet appartement qu'elle ne pouvait plus voir mais dans lequel son petit frère se trouvait toujours coincé, dans cette famille de dingue. Elyas n'avait jamais eut le fin fond de l'histoire, choix que ses parents avaient fait pour le protéger et que Loan avait accepté.
« Ma chérie, je suis heureuse de voir. » Un simple regard noir suffisait en réponse, pas elle. Deux ans après l'ultime révélation - moment ou Loan avait choisi de prendre son propre appartement, ne supportant plus de vivre avec eux - elle ne lui pardonnait toujours pas. En réalité, elle ne le ferait jamais et ne voulait même pas essayé.
« Je suis là pour Elyas. Prépare mon chèque, j'ai une journée chargée. » lançait-elle froidement, sans même un regard, se dirigeant directement vers la chambre de son petit frère. Étudiante en médecine, cela lui coutait une fortune et ce sans compter le prix des logements à Sydney, soit rien qu'elle ne puisse s'autoriser d'elle-même. Seulement voilà, il y avait ce secret maintenant, cette vérité qui pouvait sans aucun doute envoyer ses parents dérrière les barreaux et la jeune femme s'en servait du mieux qu'elle le pouvait. Pas d'argent, elle se rendait au commissariat sur le champs, c'était aussi simple que cela. La jeune femme ne culpabilisait pas le moins du monde de faire subir ce chantage à ses "parents", ils l'avaient suffisamment fait souffrir en lui mentant pendant 17 ans et surtout, ils ne manquaient de rien. Ils vivaient dans le luxe, elle méritait d'avoir la même vie, mais loin d'eux.
Frappant à la porte, elle entrait dans la chambre de son frère, sautant immédiatement sur lui alors qu'il dormait toujours à moitié.
« Happy birthday, little bro' ! » lançait-elle, criant sans doute bien trop fort pour quelqu'un qui venait à peine de se réveiller mais peu importe.
« Ta mère approuve, ne t'en fais pas. » signalait-elle dans un large sourire en lui tendant les billets d'avion qu'elle tenait à la main.
« On passe le weekend à Byron Bay! » Juste eux. Loan adorait cette ville et son frère plu que tout, ce weekend allait être parfait. « C'est ta mère aussi. » grommelait Elyas dans sa bonne humeur matinale. Faux. Mais ça il l'ignorait et pensait que Loan refusait de l'appeler "maman" à cause d'une embrouille passée.
« Merci Lo', t'es la meilleure. » Lui adressant un sourire, Loan restait allongée quelques minutes sur son lit dans le silence, bougeant finalement avant de tomber endormie.
« Je sais! Je dois y aller, j'ai cours... je passe te prendre vendredi matin, t'as interet à être prêt. » Déposant un baiser sur son front comme s'il avait toujours 10 ans, Loan l'observait s'essuyer d'un aie dégouté pour l'ennuyer avant de fermer la porte dérrière elle.
Fière, la jeune femme revenait au salon ou son chèque l'attendait sur la table.
« Parfait. » Murmurait-elle, en le plaçant dans son sac.
« J'espère que tu n'as rien prévu pour Ely', je l'emmène à Byron Bay pour le weekend. Et bien sur, tu es d'accord, ce que je lui ai déjà signalé. » Sourire au visage, bitch face à la perfection, Loan ne lui laissait pas le choix.
« Tu étais mieux avec nous Loan, regarde toi! Tu as pris combien 10 kilos? 15 depuis que tu ne vis seule » Sa mère tentait d'en faire autant, la seule différence était que quoi qu'elle puisse dire, ça ne pouvait pas l'atteindre.
« Peut-être parce que tu m'interdisais de manger H 24 ? » Et parce que depuis qu'elle vivait seule, Loan mangeait tout et n'importe quoi. La jeune femme réalisait que c'en était devenu maladif, qu'elle avait un énorme soucis avec la nourriture mais elle s'était tellement sentie privée toute sa vie qu'elle ne pouvait s'en empêcher. Elle était libre à présent. Libre, avec quelques kilos en trop.
You know my name, not my story
Ton petit nom et ton âge: Marine et 24 ans.
Où as-tu trouvé IB? Sur internet :Dpub sur NYCL et skype.
Et t'en penses quoi d'IB? Que je vais pouvoir jouer ma folle en toute liberté (a) et sinon le codage est superbe!
C'est ton premier compte ici? oui.
Ton personnage est inventé, un scénario, un pv? inventé.
Comment qualifierais-tu ta présence ici? réduite
ca fait bien dans la présentation je trouve! Je dirais 3 à 4 sur 7, je fais de mon mieux!
Autre chose?