« S'il te plait John... Réponds à la question. » Je croisai les bras en ignorant les dire de ma femme et le psychologue s'impatienta. « John... » Je me redressai dans mon siège et poussai un soupire. « Pourquoi est-ce que je devrais parler de ça ? J'ai pas envie. » Le psychologue s'approcha et posa sa main sur la mienne. « Commençons par plus simple... Parlez-moi de votre enfance, vos parents, votre famille, l'école. » Je levai les yeux vers lui en soupirant à nouveau. « Je suis né à Devonport. Ma mère n'était jamais à la maison, mon père n'a jamais dit pourquoi et à chaque fois que j'abordais le sujet, il ne voulait rien savoir. Il s'est occupé de moi, j'étais son fils, donc il le faisait. J'ai appris vers l'âge de treize ans que j'avais une grande soeur, internée. Je l'ai retrouvé quelques années plus tard. Il était trop tard, elle s'était suicidée. C'est par cet évènement que j'ai connu ma mère. Je l'ai rencontré et je n’ai pas aimé ce qui c'est passé. Par chance, mon père est arrivé juste à temps. J'étais mineur, j'avais seize ans. Ma mère était internée aussi. Pour schizophrénie et tentative de meurtre sur... » Ma femme posa sa main sur la mienne, tendit que le psychologue s'était redressé en me fixant. « sur moi. Elle avait essayé de m'étouffer, j'avais cinq ans. Mon père m'a sauvé d'elle et il m'a toujours protégé. Sinon, je faisais du sport, avec mon père. Hockey, soccer, foot-ball, basket-ball et même du base-ball. J'ai fait partie de l'équipe de base-ball, comme mon père. Il était fier de moi. » Ma femme sera ma main et je me redressai et regardai ailleurs. Je retirai ma main de celle de ma femme en serrant les dents. Le psychologue me donna un instant de répit avant de poser la question fatale. « Que c'est-il passé. » Je le regardai à nouveau. « À dix-huit ans, je me suis engagé, mon père n'a pas été complètement dévasté, il était en colère, j'ai quitté la maison en furie et je suis resté en différend avec mon père. J'aurais aimé lui parler, mais il ne décrochait pas. J'ai essayé pendant des années, sans pouvoir rentré à la maison. Un jour, le jour de mes vingt ans, j'ai rappeler, comme à tous les jours et quelqu'un décrocha, une femme. Elle était en larme. Lorsqu'elle m'a reconnu, je savais qui elle était. C'était Carrylane. » Je regardai ma femme. « Au départ de John, Mr Larnhill est tombé malade. Il a été victime d'un ACV et est tombé dans le coma. Ce fut vraiment mal tombé. Rapidement, tout a été déconnecté, ses comptes fermés et le téléphone débranché, mais pas désactivé. Monsieur Larnhill avait changé son testament, il avait indiqué que s'il mourait, il ne voulait pas déranger son fils avec ça. Mon nom était indiqué sur le testament. Donald était comme un père pour moi, il a veillé sur moi pendant des années. J'ai dû prendre la décision pour lui. J'ai pris le choix de le débrancher... J'ai rebranché le téléphone et le téléphone à sonner. C'était John. » Je regardai ma femme, elle était en larme, elle s'en voulait toujours. Je pris sa main en soupirant. « Je suis revenu en ville pour les funérailles de mon père, grâce à Carrylane. Je suis resté avec elle pendant quelque temps. J'ai appris qu'elle avait une fille et je connaissais le père. Puis que c'était moi. Elle aurait aimé me le dire le jour de mon départ, celui que j'avais donné, mais j'étais parti plus tôt. Notre fille avait deux ans et demi à mon retour. Et j'ai pu être là pour la voir grandir. À vingt-six ans, je dus retourner sur le front pour quatre ans. Je communiquais avec elles par Skype, mais un jour, je n'ai pas su donner de nouvelle, j'ai arrêté pendant plusieurs mois, jusqu'à ce que je sois renvoyé en ville. Les années qui ont suivi un été difficile. » Mon ex-femme croisa les jambes et s'éloigna de moi pour regardai le psychologue. Elle était froide. Elle m'en voulait. Elle ne savait pas l'être du début du rendez-vous, elle agissait comme ma femme quand je parlais du passé, mais quand je m'approchais de maintenant, elle devenait froide, l'ex-femme qu'elle était maintenant. « Quand il est revenu, John n'était plus le même. Il ne me regardait plus, ne me touchais plus. C'était rendu qu'il dormait avec une arme sous l'oreiller. Je n'ai rien fait. J'aurais dû. Il ne faisait rien de ses journées, s'enfermais a sous-sol faisant je ne sais quoi et remontais à peine pour manger. Lauryrose s'inquiétait pour lui et tentait rapidement d'attirer l'attention de son père. Rien à faire. Il n'était plus là... » Je la coupai en reprenant l'histoire. « J'ai perdu la tête, je l'admets, ma femme travaillait tard à l'hôpital ce soir-là. J'étais parti dormir après avoir couché notre jeune ado. Je me souviens seulement d'être assis dans le lit, l'arme à la main et ma fille face à moi les larmes aux yeux. Le sang c'est mis à couler, j'ai été prit de panique et j'ai jeté l'arme au sol pour m'occuper de ma fille. Je l'ai pris contre moi et j'ai courus jusqu'à l'hôpital qui était à quelques pattés de maison.. Je n'avais pas le droit de conduire. » Ma fille a survécu, mais avec un problème de poumon. On frappa avec ardeur sur la porte et des cris d'une adolescente et d'homme. Je tournai la tête tentant de me lever, mais ma main gauche était toujours menottée à la chaise. Je regardai le psychologue et un agent éloigna mon ex-femme de moi. On ouvrit finalement la porte et ma fille se jeta sur moi agrippant rapidement mon coup en pleurant. Je passai mon bras droit autour d'elle et la serrai contre moi en fermant les yeux. Deux agents s'approchèrent, mais le psychologue leur a demandé d'attendre. « Je voit bien que ce n'était pas voulu, mais nous sommes arrivés à ce que je voulais savoir. Vous avez sacrifié quelque chose pour votre fille et vous le ferez encore, je veux que vous rentriez à l'hôpital pour vous faire soigner. C'était un accident et vous en donnez la preuve. »

Bienvenue parmi nous !!!!!!!!   J'adore ton choix d'avatar!!!  

Bienvenuue parmi nouuuuus

Merci à vous
Sandou, je t'aime

Chloe est tellement belle!! Je veux un lien de la mort !    :twisted:   

AWWWWWWWW un life slips awaaaaaay
Bienvenue parmi nous et merci de t'être inscriiiit
Bon courage pour ta fiche.

Harvey  

Merci

Merci, j'ai finis
Je passe le tout sur Antidote