Salut, moi c'est Cornelia Lindgren, mais mes amis m'appellent Corny, J'ai 29 ans, Je suis né(e) le 14 Février 1983 à Stockholm. Je suis actuellement célibataire et ça me plaît. Dans ma vie je suis anthropologue et j'habite à Rockhampton dans un appartement et je fait partie du groupe des résidents. J'ai déjà travaillé comme chanteuse. J'ai des qualités et des défauts, comme tout le monde. Un ami a un jour écrit : Cornelia a un passé lourd, qui l'oblige à se méfier des inconnus, surtout s'ils sont de sexe masculins. Mais ses amis aussi, peuvent provoquer sa méfiance de temps à autre. La faute à celui qui aurait dût être un repère dans sa vie et non pas une bombe brisant tout sur son passage : son père.

Privée d'un repère stable à l'enfance, Corny s'est cherché un long moment. Toutes les autres filles avaient un papa et une maman, pas elle. Cela lui manquait. D'autant plus que sa mère ne se remettait pas en couple. Il manquait une figure paternelle dans son enfance. une figure dont un enfant a pourtant besoin pour pouvoir se construire.

Câline et romantique, la demoiselle est également assez jalouse : on ne marche pas sur ses plates bandes. Et cela vaux autant pour son steak que son mec. Ou sa nana, c'est selon. Rancunière malgré sa gentillesse, ce n'est pas le genre de fille qui vous pardonnera facilement vos écarts, loin de là. Plus encore s'il s'agit d'une tromperie amoureuse : étant fidèle à 200%, rien ne provoque plus sa rage qu'un mec, ou une nana, qui couche ailleurs.

Ordonnée, professionnelle, cultivée, têtue, adroite, gourmande... tout ces qualificatifs représentent un portrait fidèle de la demoiselle.

Hyperthymésique ∆ Americano-Suédoise ∆ Père mort il y a deux mois et elle l'ignore ∆ A ses yeux son père est mort il y a 23 ans ∆ Elle a un faible pour les brunettes et les mecs qui ont des pecs ∆ Elle rêve d'être reconnue dans sa profession ∆ C'est une inconditionnelle de Bones ∆ Elle est complexée par son physique car elle a l'impression qu'on la prend pour une gourde ∆ Son timbre vocal est Soprano Léger ∆ Ne fume pas ∆ Ne bois pas ∆ La saint-Valentin est commerciale à ses yeux ∆ Elle est phobique des clowns, reptiles, arachnides et insectes en général ∆ Reconnue pour être la plus douée du service ∆ A peur du grand amour mais le cherche aussi ∆ Bisexuelle

«Toutes les histoires, commencent pareil. Rien de nouveau sous la lune. Pour qu'une étoile s'éteigne, il faut qu'une autre s'allume. Bien sûr, la pluie et le hasard, la nuit et les guitares, on peut y croire. Chacun ses mots, et ses regards. Toutes les histoires ont leur histoire. N'écoutez pas ce qu'on vous raconte : l’amour, y a que ça qui compte. On s'aimera toujours, on s’aimera si fort… Et puis, doucement, sans le vouloir, on passe du cœur, à la mémoire. Toutes les histoires, commencent pareil. Rien de nouveau sous la lune. Voici celle, de Cornelia Lindgren.»

Gérard Presgurvic, Roméo et Juliette


Il était à peu près sept heures du matin ce jour là où, en Suède, à Stockholm pour être plus précise, un mannequin entra catastrophée à l’hôpital en vu d’accoucher. Et tout fut assez rapide. A peine entrée dans la salle d’accouchement, la jeune femme commença à pousser pour mettre son enfant au monde. Et en moins d’un quart d’heure, une ravissante petite fille poussa le premier cri. Et malgré le bonheur de cette naissance, ce cri du nourrisson marquait aussi le premier jour du reste de sa vie. Monsieur Lindgren, styliste et époux de la jeune femme, venait tout juste d’entrer. Il avait bien faillit manquer, d’un poil, la naissance de son enfant. Mais déjà le couple n’y songeait plus, bien trop occupé à faire risettes à l’enfant. Le bonheur, simplement, voilà de quoi il s’agissait. Très amoureux, les Lindgren avaient eut le coup de foudre l’un pour l’autre deux ans auparavant. Mariés dans la foulée, cette enfant était l’aboutissement naturel de leur rencontre.

Née dans une famille pour le moins aisé de la capitale Suédoise, l’enfant avait tout pour être heureuse. A ceci près que l’argent ne fait pas le bonheur, l’aviez-vous oublié ? Ainsi donc Cornelia grandit en voyant son père battre sa mère régulièrement. Au début, tout allait pour le mieux. Et puis malheureusement, le père de monsieur Lindgren est décédé. A partir de ce jour, le pauvre homme avait complètement perdu les pédales. Buvant coup sur coup, le styliste n’était plus capable de créer quoique ce soit. Saoul du soir au matin et du matin au soir, la petite famille ne pouvait plus compter sur lui et ne vivait plus que grâce au salaire de Madame et au fait que la maison de couture, elle, continuait de fonctionner. Heureusement, si l’ont peut dire. Même si Krister ne créait plus, ses employés au service créations n’avaient pas, eux, perdu de leur génie.

A l’âge de six ans, Cornelia cessa de voir son père, purement et simplement. Elle n’avait pas trop comprit. Il faut dire que la nuit où tout était arrivé, la fillette était à moitié endormie pendant le feu de l’action. Pourtant, son souvenir est très net. Et plein de détails. Après tout, l’anthropologue ne peut rien oublier, jamais. Du coup, elle se souvient nettement du départ, de l’arrivée chez Sigrid, une amie de Carmilla Lindgren, de l’arrivée à l’aéroport, du vol qui l’entraînait loin de Stockholm tout en la rapprochant de Seattle. Puis de l’arrivée chez ses grands-parents, chez qui les deux femmes vécurent un temps, celui de trouver un logement pour elles deux.

A huit ans, ont décela l’hyperthymésie de l’enfant. Enfin, son entourage comprit comment Cornelia faisait pour toujours se souvenir de tout. Elle ne pouvait rien oublier, rien. Ni le mal qu’on lui avait fait, ni le bien. La suédoise entendait une chanson et elle ne pouvait plus en oublier les paroles. Cela lui servit beaucoup, un peu plus tard d’ailleurs. A seize ans, pour se faire un peu d’argent de poche : l’adolescente chantait. Sa voix cristalline, son accent étranger... son patron était on ne peut plus satisfait de ses prestations. Mais la jeune femme avait un but tout autre dans la vie que celui de devenir chanteuse. Elle voulait entrer en anthropologie.

D’abord étudiante à Seattle, la demoiselle s'est établit à Rockhampton il y a de cela six mois, rejoignant alors l'équipe de l'hôpital Waters où elle rencontre quelques difficultés avec son chef de service, ce dernier lui donnant clairement l'impression de la détester. Autant dire que sa nouvelle vie n'est pas de tout repos.

Boy ♂ ∆ Un veuf dont elle ressemblerait à l'épouse défunte ; Free ✔ Taken (Compliqué - Futur love - Théoriquement, scénario)
Boy ♂ ∆ Meilleur Ami ; Free ✔ Taken
Boy ♂ ∆ Frère de Cœur ; Free ✔ Taken
Girl ♀ ∆ Meilleure amie ; Free ✔ Taken
Girl ♀ ∆ Sœur de Cœur ; Free ✔ Taken
Boy ♂ ou Girl ♀ ∆ lien ; Free ✔ Taken
Boy ♂ ou Girl ♀ ∆ lien ; Free ✔ Taken
Boy ♂ ou Girl ♀ ∆ lien ; Free ✔ Taken
Boy ♂ ou Girl ♀ ∆ lien ; Free ✔ Taken
Boy ♂ ou Girl ♀ ∆ lien ; Free ✔ Taken

C’est une chenille, elle rentre dans son cocon, et elle se transforme en papillon. Ouais et quand mes parents se disputaient, je rentrais dans ma couette et je lisais cette histoire encore et encore. J’en suis venu à la conclusion, qu’en sortant d’ma couette, j’voulais pas être différent. J’voulais que ce soit le monde autour de moi qui change.

C’est une chenille, elle rentre dans son cocon, et elle se transforme en papillon. Ouais et quand mes parents se disputaient, je rentrais dans ma couette et je lisais cette histoire encore et encore. J’en suis venu à la conclusion, qu’en sortant d’ma couette, j’voulais pas être différent. J’voulais que ce soit le monde autour de moi qui change.

C’est une chenille, elle rentre dans son cocon, et elle se transforme en papillon. Ouais et quand mes parents se disputaient, je rentrais dans ma couette et je lisais cette histoire encore et encore. J’en suis venu à la conclusion, qu’en sortant d’ma couette, j’voulais pas être différent. J’voulais que ce soit le monde autour de moi qui change.

C’est une chenille, elle rentre dans son cocon, et elle se transforme en papillon. Ouais et quand mes parents se disputaient, je rentrais dans ma couette et je lisais cette histoire encore et encore. J’en suis venu à la conclusion, qu’en sortant d’ma couette, j’voulais pas être différent. J’voulais que ce soit le monde autour de moi qui change.

Une flagrante ressemblance avec l'épouse défunte du jeune homme et quelques années de moins que lui. Cornelia est anthropologue. Novice. Et lui... lui il est son professeur, ce qui par bien des moments peu créer des situations tendus. Cette petite première de la classe, X l'aime autant qu'il la déteste. s'il respecte son professionnalisme, il ne peut s'empêcher de la haïr pour cette ressemblance qu'elle affiche. A moins qu'il ne la haïsse pour tout autre chose ? Comme cette électricité qu'il y a quand ils sont seuls, cette tension qui leurs donne envie de se sauter dessus sans qu'ils n'osent le faire... Et qui donne au jeune homme, l'impression d'être infidèle. Ou encore, est-ce cette brusque accélération de leurs rythmes cardiaques quand ils sont trop proches, qui lui donne envie de la haïr autant que de laisser libre cour à ce qui se rapproche le plus de l'amour ?

Michelle, écoutes j’ai un truc à te dire. Tu m’entends là ? C’est sûrement le réseau. Faut que je te dises quelque chose ; je suis un connard. Je sais même pas pourquoi, je peux peut-être changer... Non, je peux changer. T’es la seule qui compte... la vérité... la vérité c’est que je t’aime.

Michelle, écoutes j’ai un truc à te dire. Tu m’entends là ? C’est sûrement le réseau. Faut que je te dises quelque chose ; je suis un connard. Je sais même pas pourquoi, je peux peut-être changer... Non, je peux changer. T’es la seule qui compte... la vérité... la vérité c’est que je t’aime.

Michelle, écoutes j’ai un truc à te dire. Tu m’entends là ? C’est sûrement le réseau. Faut que je te dises quelque chose ; je suis un connard. Je sais même pas pourquoi, je peux peut-être changer... Non, je peux changer. T’es la seule qui compte... la vérité... la vérité c’est que je t’aime.