Sujet: don't mess with me. JULIAN. Mar 16 Juil - 16:58
Julian James Cole McPhee
FEAT Nom de la célébrité
Carte d'identité
date et lieu de naissance: 21 juin 1979 à Sacramento. âge: 34 ans. nationalité: américaine. groupe sanguin: A + métier ou études: infirmier en psychiatrie. orientation sexuelle: hétérosexuel. statut: veuf + célibataire (officiellement). situation financière: ni trop pauvre, ni trop riche. groupe: kissing death.
THIS IS WHO I AM
J'ai arrêté de fumer il y a trois ans + Je fais du sport, au moins une fois par semaine. Je déteste me laisser aller, plus maintenant, c'est terminé. + J'ai encore des accès de colère. Cela arrive surtout quand je repense à l'accident où à mon frère. + Je déteste me raser. Même si cela fait un peu plus négliger, je me préfère avec une légère barbe. + Je suis très proche de ma petite soeur. En revanche, je n'ai plus de contact avec mon frère aîné (celui responsable de l'accident). De temps en temps, mon autre frère prend de mes nouvelles, mais nous n'avons jamais été très proche l'un de l'autre. + Je joue de la guitare depuis toujours, cela me détend. Mais quand je n'y arrive pas, cela a tendance à m'énerver encore plus. + J'ai les yeux bleus. On me complimente souvent dessus, alors que je ne leur trouvent rien de particulier. + Je suis quelqu'un de compréhensif et d'assez sensible en règle général. Mais ces dernières années mon endurcit, peut-être un peu trop. J'ai conscience d'avoir mis des barrières entre les gens et moi, pour m'éviter de souffrir de nouveau. + Je suis une personne pessimiste. Vous le seriez aussi, si vous aviez vécus les mêmes choses que moi. + J'ai un chien, depuis quelques mois. Un cadeau de ma petite sœur.
WHAT'S WRONG WITH ME?
Dossier Médical: Il y a huit ans, je fus interné, à la suite d'une grosse dépression. Ma femme est morte dans un accident de voiture et je dois avouer que j'ai péter les plombs après sa mort. Je suis passé par une phase très colérique où je cherchais tout le monde pour n'importe quoi, simplement pour avoir le prétexte de me battre. Alcool, drogue furent mes meilleurs amis pendant plusieurs mois et ensuite le trou noir. Il me manque plusieurs jours de ma vie. Je sais seulement qu'à la suite de cela, je suis resté des mois enfermé chez moi à ne plus vouloir rien faire. J'ai songé à me suicider plusieurs fois, mais j'ai été trop lâche pour me prendre ma propre vie. Mes proches ont fini par me faire interner pour tenter de me sauver la vie. Je ne me souviens pas vraiment des premiers mois là-bas... J'ai seulement quelques souvenirs flou, très flou même. Je me suis laissé faire, je n'avais plus rien à perdre de toute façon. Je ne voyais pas l'utilité de vivre, alors que j'avais perdu ma femme et mon enfant que je n'aurais jamais la chance de connaître.
Et puis avec le temps, j'ai commencé à reprendre goût à la vie. À faire des projets, à vouloir aller de l'avant. Je ne suis pas totalement remis, je pense à eux tous les jours et c'est toujours aussi douloureux. Mais je sais qu'elle n'aurait pas voulu que je cesse de vivre parce qu'elle n'était plus là, tout comme je n'aurais pas voulu qu'elle meurt pour moi. Il m'arrive encore d'avoir des accès de colère et de violence quand on me parle de tout ceci, mais je fais de mon mieux pour reprendre le dessus.
Responsabilités: Ayant moi-même était interné il y a quelques années, je sais ce que c'est que d'être patient dans ce genre d'hôpital. Après le drame qui a totalement changé ma vie et une fois de nouveau sur pied, j'ai décidé de changer totalement de vie et de me reconvertir. J'ai choisi de devenir infirmier, pour pouvoir aider les gens, comme l'on a pu m'aider quand j'étais au plus bas. Je n'ai pas un des postes les plus importants. Je ne suis pas médecin, ni psychologue, mais j'ai quand même un contact avec les patients et même si c'est peu, je me sens utile. J'ai envie de les aider à aller mieux, même si je ne peux pas faire grand-chose concrètement. Il y a des jours où ce n'est pas facile, c'est sûr et parfois j'ai bien envie de tout lâcher et de revenir à une vie plus tranquille. Et puis je me rappelle ceux par quoi je suis passé et ce qu'on a fait pour moi. Infirmier est quand même un post important dans un hôpital, même si je me sens souvent tout petit au milieu des médecins, mais au final je suis utile à ces gens et c'est là le plus important.
You know my name, not my story
Ton petit nom et ton âge: Jean-Jacques Margaux + 23 ans. Où as-tu trouvé IB ? par Jilly Et t'en penses quoi d'IB ? le design est à tomber & le context C'est ton premier compte ici ? yeap. Ton personnage est inventé, un scénario, un pv ? inventé. Comment qualifierais-tu ta présence ici ? oh normalement je squatte beaucoup (a) Autre chose ?
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Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Mar 16 Juil - 16:58
That's the thing about pain, it demands to be felt
« Cela fait maintenant un an que l'accident c'est produit. Comment vous sentez-vous, Julian ? »
Comment je me sentais ? La question revenez sans cesse et à chaque fois je n'avais qu'une envie, leur dire que rien n'allez et que ça n'irait plus jamais dans ma vie. Mais ce n'est pas ce qu'ils attendent de moi. Non, je dois aller mieux. Aller de l'avant et ne plus vivre dans le passé. Seulement ils n'ont pas vécu ce que j'ai vécu. Ils n'ont pas dû enterrer leur femme -enceinte- et voir leur frère s'en tirer presque sans rien, alors que c'était lui qui conduisait. Ma vie est foutue, je le sais. Ils le savent, mais veulent quand même essayer de m'aider. Ils ferraient mieux de se concentrer sur une cause qui n'est pas perdue, plutôt que de tenter de sauver ma vie. Je sais aussi, que si je veux un jour sortir d'ici, je dois tenter d'aller de l'avant. Je sais que Lucia n'aurait pas voulu me voir dans cet état. Seulement, elle n'avait pas prévu que je devrais vivre sans elle. Prenant une profonde inspiration, je fermais mes yeux un instant, avant de reprendre à la question du docteur Gainsborough. « Pourquoi je dois répondre à cette question, alors que vous savez très bien que la réponse est toujours la même ? » J'en ai marre de faire semblant. Non, ça ne va pas. Non, la vie ne vaut pas la peine d'être vécu. L'absence de Lucia est de plus en plus difficile. Savoir que je ne pourrais plus jamais la prendre dans mes bras, l'embrasser, sentir son parfum, fêter notre deuxième anniversaire de mariage et toutes ses petites choses qui faisaient que la vie était plus belle avec elle à mes côtés. Mon frère m'a prit la chose la plus précieuse et la plus importante de ma vie. Et lui, est toujours en vie. Je sais qu'il culpabilise, qu'il s'en veut d'être celui qui conduisait. Celui qui n'a pas vu le "stop", mais peut m'importe. Lui est en vie, elle est morte et plus rien n'a d'importance.
« Julian, vous savez très bien que ce n'est pas de cette façon que les choses fonctionnent. Je veux savoir comment vous vous sentez au jour d'aujourd'hui. Vous avez le droit de ne pas aller bien. Mais dite le moi, ne vous renfermez pas. Vous devez essayer d'avancer. C'est bien pour cela que vous êtes ici ? »
Je suis ici, parce que ma famille a craint pour ma vie, rien de plus. Elle avait raison cependant. J'ai songé à en finir, mais je n'en ai pas eu le courage. J'ai été faible sur ce coup et pourtant, j'avais envie de la retrouver. Mais en finir, m'a semblé être malsain tout de même. Oui, je suis ici parce que je suis censé vouloir surmonter tout cela et vivre de nouveau. Mais je n'arrive pas à le vouloir, parce que Lucia ne sera plus jamais là. « Mal. » Qu'est-ce que je peux lui dire d'autre ? Ma vie va mal, je vois son visage partout, tout le temps et malgré l'année écoulée la douleur est toujours aussi vive, voir même plus. Lucia était tout pour moi et la vie me l'a prise. Comment suis-je censé vouloir continuer la mienne, sans elle à mes côtés ?
« Merci Julian. »
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quatre mois plus tard
Peut-être que finalement ça ne vaut pas le coup de rester prostré dans mon coup comme cela. Je sais que la douleur et la peine ne partiront jamais vraiment de ma vie, mais il me semble qu'il est possible d'essayer de vivre avec... Je n'ai pas envie de dire que ma femme voudrait que je vive sans elle, parce que c'est quelque chose de cliché. Je sais très bien qu'elle aurait préféré rester avec moi et ne pas mourir, alors c'est difficile de se dire qu'elle aurait voulu que je continue ma vie sans elle. Tout ceci est douloureux. « Vous pensez qu'il est possible d'aller mieux après un drame pareil ? » Vu le regarde du docteur Gainsborough, j'avais l'impression de lui avoir appris que le Père Noël n'existait pas. En dix mois ici, c'était la première fois que je parlais de l'avenir, je comprends que celui est pu le choquer.
« Bien sûr que cela est possible. Je ne dis pas que cela va être facile, ni même que vous ne reviendrez pas en arrière... Mais si vous le voulez vraiment, oui, c'est tout à fait possible d'apprendre à vivre avec cela. Vous ne devez pas oublier, mais vous ne devez pas vous enfermer et ne plus penser qu'à cela. »
J'avais écouté attentivement les paroles de mon psychiatre. Il avait vraiment sincère et surtout il semblait vraiment vouloir m'aider. Il était effectivement peut-être temps d'essayer d'accepter que la vie est une garce qui n'épargne personne. Rien ne me rendra ma Lucia et je n'aurais jamais la chance de prendre mon enfant dans mes bras, ça je l'avais parfaitement compris. Mais si moi, j'étais encore en vie, après tout ce que j'avais traversé, il y avait peut-être une raison à cela. La vie ne semblait pas en avoir terminé avec moi et après tout, je pouvais tenter de jeter un oeil à ce qu'elle me réservait désormais. Le chemin allait être long, je le savais, on n'avait cessé de me le répéter, mais pourquoi pas essayer. « Je pense que peut-être il est temps pour moi de vraiment faire mon deuil. Est-ce que cela fait de moi un monstre ? » Comme toujours, le docteur a d'abord marqué quelque chose dans son carnet avant de le poser, de se pencher en avant et de me répondre.
« Cela fait simplement de vous un être humain. Rien de plus, rien de moi. Vous savez Julian, vous avez le droit d'être heureux à nouveau, même si vous pensez que non. Votre vie est loin d'être terminé et passez le temps qu'il vous reste à la gâcher. Essayez plutôt d'être heureux. »
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six mois plus tard
« Et bien je vous souhaite bon courage dans votre nouvelle vie Julian. Vous savez que vous pouvez m'appeler si vous avez besoin. »
Ma dernière séance chez le psy, enfin. Il est prévu que je sorte demain, que je puisse retrouver "ma liberté". Je vais pouvoir recommencer à vivre. Lentement, mais sûrement. Je pense toujours à Lucia, tous les jours, la douleur est toujours là et ne partira jamais. Mais aujourd'hui, j'ai appris à vivre avec, elle fait partie de moi et me donne le courage de me battre et d'avancer. J'ai bien l'intention de reprendre ma vie en main. Je ne sais pas encore comment, ni véritablement par où commencer, mais je vais essayer, vraiment. « Merci. Je vais faire de mon mieux. » Je suis sincère. Je le pense vraiment. Je ne veux pas me retrouver enfermer de nouveau, ni revivre tout ce que j'ai traversé. C'est beaucoup trop douloureux. Il s'est passé beaucoup de choses pour moi en presque deux ans. J'ai vécu le pire. J'ai fait le pire. Les premiers mois après la mort de Lucia ont été horrible. J'ai fait n'importe quoi, alcool, drogue. Pas de sexe, c'était impossible, j'aurais beaucoup trop eu l'impression de tromper ma femme. Je sais que c'était stupide parce qu'elle était morte, mais je n'ai jamais aimé personne comme j'ai pu l'aimer et je n'aurais pas pu coucher avec une femme que la mienne après sa mort. Alors, j'ai cherché un échappatoire dans d'autre chose et j'ai trouvé. Jusqu'au jour où j'ai trop tiré sur la corde... Il me manque trois jours de ma vie. Trois jours totalement flou dont je ne me souviens pratiquement pas. Ce fut le moment de trop pour ma famille qui m'avait alors fait interné. Je leur en ai voulu, beaucoup. Mais aujourd'hui, avec le recul, je sais que c'était pour mon bien. Je suis cependant incapable de leur dire "merci" pour le moment. Tout comme je suis incapable de pardonner mon frère qui conduisait lors de l'accident.
Je suis prêt à sortir d'ici. Je sais que je vais pouvoir aller de l'avant seul, même si ça ne sera pas facile. J'ai envie de reprendre ma vie en main, en mémoire de Lucia. La vie craint, mais je dois essayer d'en profiter. « Merci encore docteur. » Je me lève pour lui serrer la main. Cet homme à fait beaucoup pour moi au cours de cette dernière année. Il va me manquer, un peu, je commençais à m'habituer à nos séances. Mais, j'ai hâte de sortir d'ici. Après un dernier coup d’œil à cette pièce, je sors en fermant la porte derrière moi. Une nouvelle vie m'attend.
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un an plus tard
« Et tu reviens quand nous voir ? » « Bientôt je te le promets... » « ... Oui, tu dis ça depuis des mois déjà. Tu nous manques tu sais... »
Depuis onze mois que j'avais déménagé je n'étais pas retourné une seule fois aux États-Unis. Un mois à peine après ma sortie de l'hôpital, j'avais tout plaqué pour venir vivre en Australie. C'était un pays qui m'avait toujours donné envie de visiter et quitte à partir, j'avais décidé de mettre le plus de distance possible entre ma Californie natale et moi. Ce n'était pas la première fois que ma soeur me demandait de revenir, ne serait-ce que pour quelques jours. On avait toujours été très proche. Elle, le bébé de la famille et moi son grand-frère d'à peine un an. Je n'ai jamais été proche de mes deux grands frères -encore moins maintenant-, mais ma petite soeur, c'était différent. Elle me manquait beaucoup, c'était évident, mais je ne me voyais pas retourner à Sacramento pour le moment. J'étais partis pour une bonne raison, changer de vie et prendre un nouveau départ. Retourner là-bas, allez me faire plus de mal que de bien, j'en étais convaincu.
« Tu sais très bien que tu peux venir quand tu veux dès que tu auras accouché. Il y aura toujours de la place pour toi. » « Je sais. On se rappelle bientôt d'accord ? Tu me manques. » « Toi aussi. »
J'avais l'impression d'être un monstre envers elle. Mais je savais que j'avais pris la bonne décision en venant vivre à Rockhampton. Un nouveau départ, une nouvelle vie. Le but était simple, repartir de zéro. J'espérais ainsi être moins hanté par Lucia et avec le temps, cela marchait. Comme nous n'étions jamais venu ici ensemble, je n'avais pas l'impression de la voir partout, comme c'était le cas aux États-Unis. J'avais pu reprendre un semblant de vie, loin de tous. J'avais tout quitté là-bas, ma famille, mon métier de sculpteur, mon frère, mon ancienne vie. Tout était fait pour que ma vie future soit mieux.
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trois ans plus tard
« Et pourquoi vous ressentez le besoin d'en parler aujourd'hui ? » « Parce que cela fait huit ans aujourd'hui, que l'accident c'est produit. » « D'accord. Je vois... »
Même moi qui n'étais pas psychanalyste, je voyais très bien. Cela faisait quelques temps que je ressentais le besoin de parler à quelqu'un de tout cela et aujourd'hui il avait été nécessaire que je le fasse. Je "fêtais" les huit ans de la mort de ma femme. Déjà sept ans que je devais vivre sans elle et parfois cela me semblait insurmontable. Il avait donc fallu que j'en parle, que j'aille voir quelqu'un, un spécialiste qui pourrait m'aider. Surtout m'écouter. Je ne ressentais plus le besoin de me détruire, mais il m'arrivait d'avoir encore des accès de colère -voir de violence- lorsque c'était trop pour moi. On m'avait bien que cela pourrait arriver, que je devrais me battre tout le reste de ma vie pour tenter de m'apaiser face à cette horrible tragédie. Néanmoins, je n'avais pas envie de vivre de cette façon pour le restant de mes jours. Depuis deux ans, ma vie semblait revenir à la normale. Ma normale ici. Je m'étais reconvertis et depuis quelques mois, j'avais même un nouveau métier, infirmier. J'avais décidé de devenir utile aux gens. J'avais même été pris à l'hôpital Waters, qui n'était pas sans me rappeler l'hôpital où j'avais moi-même été interné. Le docteur Gainsborough m'avait même encouragé, pensant que cela ne pourrait que m'être bénéfique. Je crois qu'il avait fini par s'attacher à moi et malgré la distance, il prenait encore de mes nouvelles régulièrement. Bizarrement cela ne me rappelait pas de mauvais souvenirs de travailler là-bas. Peut-être parce que cette fois-ci, j'étais de l'autre côté, je ne saurais l'expliquer. Toujours était-il, que je me savais utile, comme l'avait été le personnel médical pour moi il y avait sept ans et demi.
« Comme a dû vous le dire mon confrère, c'est normal d'éprouver le besoin d'en parler. Vous ne devez pas en avoir en honte, c'est tout à fait normal. Et ceux même si vous avez refait votre vie. » « Je n'en ai absolument pas honte, docteur. Vous êtes simplement le mieux qualifier pour me comprendre. »
Je n'avais jamais eu honte de ressentir encore de la douleur ou de la colère face à la mort de Lucia. C'était simplement mieux vivable maintenant. Mais ma femme me manquait toujours autant, même si je me sentais prêt pour avoir de nouveau quelqu'un dans ma vie. Je n'avais tout simplement pas trouvé encore la bonne personne. Ce n'était pas les quelques filles avec qui j'avais eu un rendez-vous qui m'avaient donné d'aller plus loin avec elle. Il fallait laisser la vie faire son temps...
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huit mois plus tard.
« Tu sais que si on ce fait prendre, je risque de perdre mon emploi ? »
Comme à chaque fois que j'évoquais le sujet, Casey hausse les épaules avant de lever les yeux aux ciels. Elle ne semblait pas se rendre compte que les conséquences seraient désastreuses si on en venait à découvrir que je sortais avec une patiente. Ce n'est pas de ma faute, cela m'est tombé dessus comme ça, sans que je ne demande rien. Cela va bientôt faire un an et demi que je la vois ici et je dois dire que j'ai tout de suite étais attiré par elle. Ce n'est pas forcément physique, mais sa façon d'être. Sa manière de remettre ses cheveux derrières ses oreilles, son accent britannique, sa façon de se tordre les mains quand quelque-chose la préoccupe, son parfum... Bref, sa façon d'être tout simplement. Elle est ici, suite au décès de son frère jumeau. Un point commun, nous avons tous les deux perdu un être cher. Elle me fait penser à moi, après la mort de Lucia, bien qu'elle semble moi brutale que j'ai pu l'être -et qu'il m'arrive encore d'être-. Cela fait quatre mois que nous avons commencé de "sortir" ensemble. Je sais que c'est mal, que je ne devrais pas, mais c'est plus fort que moi. Elle a quelque-chose qui m'apaise quand je suis à ses côtés. Personne n'est au courant, excepté ma petite soeur, qui a quand même dû mal à comprendre. Pourtant, mes amis me trouvent mieux ses derniers temps. Plus calme, plus heureux. Je leur dis, que c'est grâce à mon travail à l'hôpital, qui m'aide à avance. Ce n'est pas totalement faux, mais ils leurs manquent un bout de la vérité. Tout ce que j'espère, c'est qu'elle puisse sortir bientôt, que nous puissions réellement commencer quelque chose ensemble.
Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Mar 16 Juil - 20:50
Ohmondieu, Fassyyyy :bave: Bienvenue !
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Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Mar 16 Juil - 21:35
Merci
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Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Mer 17 Juil - 9:48
FASSBENDER, je viendrais sans doute te violer dans ton sommeil un de ces jours! Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Mer 17 Juil - 10:15
Je sais pas si ça sera vraiment un viol Merci en tout cas
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Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Jeu 18 Juil - 15:54
Validé(e)
Histoire très intéressante et j'aime beaucoup ta manière d'écrire & étant donné qu'on va être collègue, j'exige un lien Bref, tu es officiellement validé!
Maintenant que ta fiche est validée, il serait préférable que tu lises le règlement mais surtout le contexte si ce n'est pas déjà fait. Il y a également des annexes mises à disposition pour mieux comprendre dans quel univers évoluera ton personnage. Penses également à aller lire le topic concernant les décès et mariages irp, ainsi que celui sur les changements de groupe, qui pourront s'avérer utiles plus tard. Tu peux désormais aller poster ta fiche de liens, utile pour avoir des relations avec les autres personnage du forum et une une fiche de sujet si tu le souhaites, afin de regrouper tes topics en cours et que l'on puisse t'en demander. Tu peux faire une demande de logement ou une demande de chambre pour les patients internes à la clinique, mais également une demande de rang si tu le souhaites. Si ton personnage travaille au sein de la clinique, penses à aller faire une demande de métier. Si ton personnage travaille ailleurs dans la ville, le même système de demandesa été mis en place. En ce qui concerne le hors-jeu, penses à aller faire un tour dans le flood et les jeux, c'est bon pour l'activité et l'intégration. La chatbox accueille également volontiers les nouveaux. Et sinon, bon jeu parmi nous !
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Sujet: Re: don't mess with me. JULIAN. Jeu 18 Juil - 15:59
Aon merci beaucoup pour les compliments & la validation