 |  Sujet: Stefan Nathaniel Dawson - Je ne peux être maître de mes sentiments. Sam 20 Juil - 12:09 | |
| Stefan Nathaniel Dawson  Carte d'identité date et lieu de naissance: 14 Février 1980, Nottingham (Angleterre) âge: 33 ans nationalité: Je suis anglo-américain, mes parents étaient en vacances en Angleterre lorsque ma mère a accouché. A la base, ils vivaient aux Etats-Unis. J'ai ensuite quitté les Etats-Unis pour l'Australie. J'ai un VISA qui se terminera si je perd mon boulot et que je n'en retrouve pas un. Mais pour l'instant, pas de soucis à se faire ! groupe sanguin: AB, groupe sanguin relativement rare. Celui-ci étant doublé d'un rhésus négatif. C'est toujours mieux que rien ? métier ou études: Diplômé de Stanford, Psychologue à l’hôpital Waters. orientation sexuelle: Hétérosexuel statut: Célibataire trop endurci. situation financière: Aisée, les parents continuent de donner de l'argent malgré qu'il a un très bon salaire. groupe: Kissing Death THIS IS WHO I AM
Stefan est quelqu'un d'adorable, comme dirait sa « mère » quand elle n'est pas en train de délirer. Il est d'une générosité inébranlable, il veut aider son prochain et ce, même s'il doit donner son déjeuner à un pauvre SDF qui n'a pas de travail, il le fera sans hésiter ! En plus d'être gentil, c'est quelqu'un de têtu, il ne lâchera pas l'affaire pour aider quelqu'un, quitte à le suivre si cette personne s'évertue à penser qu'elle n'a pas besoin d'aide ! C'est sûrement de ça qu'en découle son self-control. Il est rare qu'on réussisse à l'énerver, à le faire sortir de ses gonds, c'est un homme patient. Et si vraiment il a besoin de se détendre : il voit ses amis autour d'un bon verre de whisky ! Il est sociable alors ce n'est pas difficile pour lui. D'ailleurs, cet alcool est une manie chez lui, il aime boire au moins un verre en fin de journée lorsqu'il est chez lui . Une sorte de petit réconfort qu'il a prit l'habitude d'avoir pour avoir des petits plaisirs quand il est seul, rare sont les femmes qui viennent ici. Les copines, il en a eu mais ça ne dure jamais longtemps. Il se pensait insensible aux charmes des femmes et même il s'est demandé durant sa jeunesse s'il n'était pas homosexuel. Cette idée lui faisait peur, bien qu'il soit tolérant, il ne se voyait pas « sortir » avec un homme. Cette thèse fut rapidement détruite par ses conquêtes féminines et l'amour décida de pointer le bout de son nez, même si elle est trop jeune, qu'elle est sa patiente. C'est un garçon fort dans sa tête et même si ça le trouble que ce soit une jeune fille, il ne se laisse pas abattre, la vie avec sa mère l'a renforcé et lui a apprit à accepter ce qui lui arrivait. Oh ! Aussi ! Il est riche, très riche, ses parents ont beaucoup d'actions sur des grandes entreprises en plus d'être avocat de stars pour son père. Sa mère était présentatrice télé par le passé mais elle a arrêté de travailler dès que la schizophrénie lui fut diagnostiquer. Il n'est pas devenu un de ses enfants de riches avatar et égoiste, non, il garde un train de vie normal et sans excès. Une fois, une petite amie à lui lui a reproché même d'être vieux jeu ! Mais bon, il ne se sentait pas du tout atteint par ce qu'elle a dit. Il ne l'aimait pas. Ensuite, ce qui attire l’œil chez lui, c'est son physique. Il n'est pas Mister Univers mais il a un certain charme. Il s'entretient physiquement en faisant de la natation et des courses à pieds dans un grand parc très régulièrement. Et quand il ne fait pas de sports, on le voit souvent se balader avec un livre ou un MP3 sur les oreilles ! Il lui faut peu de choses pour l'occuper ! |
WHAT'S WRONG WITH ME?
Responsabilités: Je suis l'un des nombreux psychologues de l’hôpital Waters. Je suis devenu psychologue parce que je voulais aider les gens qui avaient besoin d'aide, qui ont un vécu assez décalé de la normal et qui ont besoin de quelqu'un pour parler, d'aller mieux. Contrairement aux psychiatres, je ne peux prescrire des médicaments et fort heureusement d'ailleurs ! Je ne veux pas qu'une personne soit dépendante des médicaments comme l'a été ma mère toute sa vie. Pour moi, le seul moyen de réussir : c'est de parler, d'essayer de vaincre les souffrances pour avancer. Cela se fait petit à petit, avec du temps, surtout pour les cas les plus graves. Je ne suis pas dans l'aile psychiatrique même si j'ai beaucoup de patients là-bas, j'ai aussi des patients des autres secteurs qui vivent mal des accidents, des événements qui ont eu lieu dans leur vie et je suis là pour les aider.
On m'a parlé de l’hôpital Waters quand j'ai cherché un travail en Australie, je voulais aller dans un endroit plus reculé, loin du zoo infernale des villes américaines. Alors j'ai postulé dès qu'il m'a été possible ! Je travaille ici depuis maintenant 5 ans, je connais un peu tout le monde, et j'essaye de me faire une place parmi le personnel ainsi que parmi les patients, tel ceux qui sont là depuis des années ou comme les plus récents arrivés.
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That's the thing about pain, it demands to be felt « Stefan, réveilles toi. Il est l'heure de te lever mon chéri. » L'enfant sort de son sommeil, apercevant le visage de sa main. Il lui sourit et il vient se blottir dans ses bras. Tout semble normal, pas de soucis à se faire. « Allez, dépêches toi ! Habilles toi, Stefan ! » Il pousse un long soupir et sort de son lit. Il attrape ses vêtements, et s'habille en silence . La maison est étonnamment silencieuse. Stefan n'entends même pas ses parents discuter, comme chaque matin. Il ne s'en préoccupe pas, allant ouvrir les rideaux pour avoir plus de clareté. Surprise !! Il fait encore nuit. « Maman ? Il fait... » Elle rentre en tout hâte dans la chambre de Stefan, l'obligeant à faire son sac à dos. Elle pose un papier sur le lit mais il n'a pas le temps de voir. Que se passe-t-il ? Pourquoi elle veut qu'ils s'en aillent ? « Papa ? … Papa ! » Stefan se mettait à crier, il se sentait effrayer par le comportement de sa mère. Elle l'installe dans la voiture alors qu'il commence à se sentir mal. « ça va aller, Stefan mon chéri, ne pleures pas ! Maman va te protéger ! » Il regarde le pas de la maison et voit son père courir jusqu'à la voiture, prenant alors sa femme dans ses bras pour la serrer très fort contre lui. Stefan se met à pleurer, et intensifie ses vocales par le long crie. Les voisins arrivent et séparent les deux mariés. La mère de Stefan est totalement hystérique, elle prolifère des insultes à l'égard de son mari des menaces et vient même à dire qu'il a fait du mal à Stefan. La police arrive finalement chez les Dawson. Au début, ce n'était qu'une simple enquête, Stefan a eu droit à des interrogatoire par des policiers, des psychologues et même un examen de son pauvre petit corps. Rien. L'enfant n'avait rien. Tout le monde était rentré à la maison et ça allait mieux entre les parents de Stefan, même s'il ne voyait pas la tension entre ses deux parents, bien trop occupé à vivre sa vie innocente d'enfant . Sauf que ça ne s'est pas passé comme on le voulait. Sa mère a refait une crise, plus violente, encore plus paranoïaque. Alors le père de Stefan décida de faire interner sa mère, ne sachant plus quoi faire pour elle. Elle resta deux ans en clinique privée, bourrée de médicaments, semblant aller mieux alors que son état ne changeait pas la moindre du monde. Stefan grandissait et au fur et à mesure, il commençait à avoir honte de sa mère, de ce qu'elle était devenue malgré l'amour qu'il ressentait pour elle. Sept ans plus tard. Elle est sous médicament, encore et malheureusement pour Stefan, il ne pouvait plus rien faire pour elle. Elle délirait trop, elle était excessive et avec le temps, elle ne s'arrangeait pas bien que son état était plutôt lent. Le père du jeune homme vit entre deux maisons : sa famille et celle de sa maîtresse à qui il a fait deux enfants. Stefan se doute de leur existence, il se doute qu'ils voient leur père plus souvent que lui mais l'enfant n'y peut rien. Son père ne peut plus supporter cette femme aussi dingue qu'elle l'était et ne pouvait pas divorcer pour cette raison. Stefan est devenu un homme indépendant, surtout à cause du fait que c'était lui qui s'occupait de sa mère, qui lui donnait les médicaments qu'il fallait etc. Et un jour, la nouvelle tomba. Stefan court à travers la maison, il pleure de joie : « Maman, Maman ! Tu sais quoi ?! » Il saute sur le lit, alors que sa mère se réveille. « Je suis accepté à Stanford ! Je vais faire mes études à Stanford, Maman ! » Rapidement, il sortait de la chambre en criant encore plus fort son bonheur ! Comme quoi la vie n'avait pas que du négatif ! Qu'il ne fallait pas perdre espoir ! Bien des années après. Il tombe sur le sofa, s'affalant comme s'il était seul dans la pièce. Il remarque une horloge en face de lui, elle est jolie... il la fixe. « Je ne saurais te mentir plus longtemps, je crois que je suis tombé amoureux. C'est la pire chose qui m'arrive en ce moment, et ce n'est pas qu'elle a rien pour elle, au contraire, elle est magnifique et malgré ses soucis, elle me plaît encore plus. Mais c'est impossible. J'ai l'impression d'être un vieux pervers... ». Une quinte de toux se fait entendre alors que les lèvres de Stefan ne bougent pas. En réalité, il n'est pas seul. Derrière lui se trouait un autre psychologue. Même si lui en est un, il doit en suivre un pour ne pas sombrer. La dure loi des Psychologues. D'un autre côté, il profite du secret médical et pour faire de ce psychologue son confident, il lui dit « tout », c'est plutôt facile étant donné qu'ils ont le même âge. Et même, il lui parle d'elle. « Je te rassure, je crois que le terme vieux pervers se fait à partir de quarante ans, quand tu es en manque de sexe et qu'il n'y a pas d'histoires sentimentales. » Il se met à rire, il se moquait de Nathaniel. Ce dernier était un homme assez... spécial. Il a eu des conquêtes, des petites copines, mais le sentiment amoureux n'est jamais apparu dans ses relations. Seulement des amies, des meilleures amies, une bonne complicité, mais ça n'est jamais allé au de là. Alors que cette fille, c'est une véritable rose qui le pique jusqu'au sang, jusqu'à l'hémorragie. « Je suis bloqué par le secret professionnel sinon crois moi que je te dirais tout ! Je sais que je ne devrais pas , c'est mal mais elle est tellement différente. J'aimerais pouvoir l'aider dans ses troubles mais son passé... c'est trop ancré en elle pour y arriver comme ça. Je ne perds pas espoir mais elle est à un stade sa vie où je ne sais pas si elle sortira d'ici un jour... » Un soupir sort à présent des lèvres du confrère, un peu décontenancé par le romantique psychologue. Mine de rien, ça le changeait. Il n'était plus l'homme de glace qu'on pourrait lui prétendre, il était quelqu'un capable de sentiments amoureux, mais il aime une personne qui lui ait interdite. Ce n'était pas très éthique tout ça ! « Fais plus de sorties, Nathaniel ! Essayes de voir des femmes, tu oublieras bien vite ta patiente ! Ça se trouve, tu ne lui manques pas un seul moment, faut pas te prendre la tête avec une gamine! » Il lui jette un regard sombre, presque haineux. Une partie de lui le détestait de dire qu'elle était une gamine. Elle était une personne si attachante, sauf quand elle fait son allumeuse avec son côté « Louve » qui ressort, il n'aime pas ce côté séductrice, limite nymphomane à ses yeux. Il redoutait presque que des hommes la touchent, c'était plus fort que lui. « Non ! J'ai pas envie ! Et puis... je suis arrivé en Australie pour me ressourcer, pour changer d'air et être tranquille, plus de stress comme c'est aux Etats-Unis ! En plus, avec un diplôme de Stanford, ça a été facile d'être pris en tant que psychologue ! J'ai pas envie de partir alors que je pourrais faire tellement de choses ici... les patients ont besoin de moi, c'est ma priorité... ». Son collègue note quelques lignes et pousse un soupir. De toute façon, son envie, ses sentiments, personne ne le saura. Son collègue est juste là pour voir s'il ne perd pas le Nord et Nathaniel est parfaitement bien dans sa tête, bien que Daisy sème le trouble en lui. You know my name, not my story   Ton petit nom et ton âge: Cam (Il faut pas en devenir accro !), et je suis majeur ! Où as-tu trouvé IB? Quelques échos me sont parvenus ... Et t'en penses quoi d'IB? ... et j'ai adhéré au contexte !  C'est ton premier compte ici? Oui Ton personnage est inventé, un scénario, un pv? Scénario de Daisy Comment qualifierais-tu ta présence ici? Presque tous les jours, je vais essayer ! Autre chose? Il y a tellement de bons scénarios, que le choix a été difficile  |
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| | Sujet: Re: Stefan Nathaniel Dawson - Je ne peux être maître de mes sentiments. Dim 21 Juil - 7:58 | |
| Validé(e) Je suis d'accord avec la jolie Daisy. J'aime beaucoup ta fiche. Tu es donc validé...  Maintenant que ta fiche est validée, il serait préférable que tu lises le règlement mais surtout le contexte si ce n'est pas déjà fait. Il y a également des annexes mises à disposition pour mieux comprendre dans quel univers évoluera ton personnage. Penses également à aller lire le topic concernant les décès et mariages irp, ainsi que celui sur les changements de groupe, qui pourront s'avérer utiles plus tard. Tu peux désormais aller poster ta fiche de liens, utile pour avoir des relations avec les autres personnage du forum et une une fiche de sujet si tu le souhaites, afin de regrouper tes topics en cours et que l'on puisse t'en demander. Tu peux faire une demande de logement ou une demande de chambre pour les patients internes à la clinique, mais également une demande de rang si tu le souhaites. Si ton personnage travaille au sein de la clinique, penses à aller faire une demande de métier. Si ton personnage travaille ailleurs dans la ville, le même système de demandes a été mis en place. En ce qui concerne le hors-jeu, penses à aller faire un tour dans le flood et les jeux, c'est bon pour l'activité et l'intégration. La chatbox accueille également volontiers les nouveaux. Et sinon, bon jeu parmi nous ! |
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tu n'étais pas sur pwl ?? 
boulette alors quelqu'un a le même pseudo ou surnom 
