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| quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa | |
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| Sujet: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Jeu 1 Aoû - 16:05 | |
| Allie-Théa Joleen Hartley Carte d'identité date et lieu de naissance: le treize novembre deux mille neuf à l’hôpital de Rockhampton âge: quatre ans nationalité: australienne groupe sanguin: A+ métier ou études: écolière orientation sexuelle: doudousexuelle statut: mariée avec son doudou situation financière: elle a une petite tirelire avec les cinq euros qu’elle a eu pour son anniversaire, car elle a été très sage groupe: life slips away THIS IS WHO I AM
C’est une petite fille très souriante, elle aime se faire de nouveaux amis. Elle n’a pas la langue dans sa poche et fait la conversation avec tout le monde. Elle ne quitte jamais sa peluche, un petit lapin nommé Moustache. Elle aime beaucoup les fleurs et en dessine un petit peu partout. Elle sait que ses parents se disputent beaucoup et se sent très triste à cause de cela. Elle aimerait bien recueillir le petit chat qui vient souvent dans le jardin mais sait qu’il risque d’avoir des maladies. Alors elle se penche à la fenêtre et lui parle. Elle a deux cousines qui viennent souvent lui rendre visite. Dans la maison d’en face, il y a un petit garçon avec qui elle échange des dessins avec des avions de papier. Elle dit que quand elle sera grande, elle sera docteur pour soigner tous les enfants du monde. Elle n’aime pas avoir les cheveux longs car ça la dérange. Elle ne comprend pas pourquoi son prénom il est en deux parties. Elle aime beaucoup les comptines. |
WHAT'S WRONG WITH ME?
Dossier Médical: La petite fille souffre d’une insuffisance immunitaire : elle n’a pas assez de globules blancs pour protéger son corps des infections. Les médecins s’en sont rendu compte lorsqu’elle n’avait que quelques mois, après de nombreuses analyses sanguines. Alors, ils ont conseillés aux parents de ne pas la mettre en contact avec d’autres enfants, afin qu’elle ne soit pas exposée aux bactéries. Les premières années, cette précaution suffisait, mais depuis quelques mois, la santé de la petite se dégradait, ce qui a incité les médecins à la faire hospitalisée. Allie-Théa ne vit pas trop mal cette maladie, car elle l’a toujours connu. Mais elle est quand même triste de ne pas pouvoir aller jouer dehors avec les autres enfants, et a parfois du mal à accepter de rester tout le temps dans l’hôpital, loin de sa maison. Mais elle a compris que c’est en écoutant bien les médecins et en acceptant tous les médicaments et autres traitements qu’elle pourra peut-être un jour être comme toutes les autres petites filles.
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You know my name, not my story ✉ Ton petit nom et ton âge: marie, seize ans ✉ Où as-tu trouvé IB? bazzart ✉ Et t'en penses quoi d'IB? je le trouve très joli ✉ C'est ton premier compte ici? exactement ✉ Ton personnage est inventé, un scénario, un pv? inventé ✉ Comment qualifierais-tu ta présence ici? présente mais pas toujours devant mon ordi : je passe chaque jour mais pas pendant dix heures ✉ Autre chose? nop |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Jeu 1 Aoû - 16:05 | |
| quand tu sais plus où tu vas, regarde d'om tu viens « Quand je suis née, j’étais toute petite. J’avais pas beaucoup de cheveux, et puis j’ouvrais presque pas les yeux. J’étais un bébé, quoi. Comme tous les bébés du monde, je dormais, je mangeais, je dormais, je mangeais. Une vie de bébé, quoi. Puis un jour, j’ai pleuré, aussi. Parce que j’avais faim. Et rebelote. J’ai mangé, et je me suis endormie. Comme un bébé. Un autre jour, j’ai babillé. Je parlais, en fait, mais maman ne m’a pas compris. Papa non plus. Parce que personne ne comprend les bébés. Tout le monde pense que les bébés babillent comme ça. Mais non, mais non ! Un bébé parle, déjà. C’est pour ça qu’un jour, quand maman m’a mis dans ma poussette pour aller dehors et qu’on a croisé une autre poussette avec un autre bébé, et bien on a tous deux commencer à babiller. On se parlait, et on se racontait tout un tas de choses ! L’autre bébé avait perdu sa totote rose, et sa maman lui en avait donné une bleue. Il aimait pas la bleue, l’autre bébé. Ma totote était rose, mais j’ai pas voulu lui donner, parce que c’était ma totote. Alors, on a commencé à s’énerver. Sauf que nos mamans ont pensé qu’on avait faim, qu’on avait froid, qu’on avait fait dans notre couche. Sauf que nous, on venait de vivre la première dispute de notre vie. C’était super déstabilisant, comme expérience ! Je venais d’apprendre que tout le monde n’était pas aussi gentil que papa et maman, et qu’il fallait s’énerver pour faire valoir sa voix. Pendant quelques heures, j’ai pas babillé. Je digérais la nouvelle. Maman s’inquiétait, elle pensait que j’avais attrapé un rhume. De nouveau, ils ne me comprenaient pas. A croire qu’ils ne se souvenaient pas de quand ils étaient bébés. Alors, pour leur faire plaisir, pour les rassurer, je me suis remise à babiller, en tendant mes petits bras vers eux. Ca les a tout de suite rassurés, et ils ont souri toute la soirée. Et pendant ce temps, moi, je réfléchissais encore. » « Puis j’ai grandi. J’étais encore un bébé, je commençais à avoir des cheveux, et mes babillements avaient changé. Maintenant que j’avais compris, accepté et enregistré que si j’avais une voix, c’était pour m’en servir, je ne cessais de l’utiliser. Quand j’avais faim, je pleurais. Quand j’avais froid, je criais. Quand j’étais fatigué, je hurlais. Et quand j’avais perdu totote, je déclenchais l’alarme sonore. On n’entendait plus que moi, et j’en étais fière. En plus, comme cela marchait, je recommençais. Plusieurs fois, en balade, j’avais croisé d’autres bébés, de mon âge et parfois plus jeunes, ou plus âgés. Au plus jeunes, je tachais de leur faire comprendre ce que j’avais eu tant de mal à admettre : il faut se faire entendre. Au plus âgés, je demandais ce qu’on apprenait, en grandissant encore. Et avec ceux de mon âge, je n’étais jamais d’accord. Tantôt ils voulaient mon doudou, tantôt je voulais le leur, et cela ne marchait jamais. Et maman, embêtée que je pleure devant les autres, me ramenait à la maison avant même que je n’ai fini de converser avec les autres. J’étais sûre qu’ils allaient m’en vouloir. Mais comme ça, j’étais sûre d’avoir toujours le dernier mot. Ou plutôt, le dernier cri. J’avais arrêté de ne boire que du lait, et maman me tendait, dans une chose nommée petite cuillère, une bouillie orange. Elle me faisait comprendre que je devais ouvrir la bouche, ouvrant la sienne pour l’exemple. Alors, quand j’étais de bonne humeur, j’acceptais de gouter. Et que je ne l’étais pas, je ne voulais pas. Au début, je ne voulais pas de ces drôles de trucs, je voulais mon biberon, et pleurais à tout rompre lorsque je voyais la cuillère s’approcher. Puis un jour, comme par enchantement, je me suis rendue compte que ce n’était pas si mauvais. Je venais d’apprendre que le changement est parfois bénéfique, et qu’il faut accepter ces changements. En un repas, je venais de constater que l’on en finit pas d’apprendre. » « Au fur et à mesure que je grandissais, j’apprenais. J’ai appris que fallait pas faire tomber tototte ou doudou, parce qu’après je pouvais pas les ramasser toute seule. J’ai appris que fallait pas taper sur les jouets parce qu’ils marchent plus après. J’ai appris que c’était possible de sourire et que ça marchait aussi bien que de crier. J’ai appris que papa et maman aimaient beaucoup quand je faisais des sourires. J’ai appris que papa il avait plus de patience quand il fallait ramasser dix fois à la suite doudou quand je le faisais tomber. J’ai appris que maman était plus patiente quand je voulais pas manger. J’ai appris, j’ai appris, j’ai appris. J’ai appris ce que tous les bébés apprennent en grandissant. Puis un jour, j’ai eût ma première dent. Maman était toute contente. Moi, un peu moins. Ca faisait très mal, et je pleurais tout le temps. J’ai ainsi appris que dans la vie, on ne contrôle pas toujours tout. Que parfois, certaines choses arrivent quand on n’a pas envie. J’ai appris qu’on ne peut rien faire contre cela. J’étais très frustrée. Ça ne me plaisait pas du tout, cette histoire-là. J’essayais de le faire comprendre à maman, mais elle ne comprenait toujours pas mes babillements. Alors, lors de mes promenades, je faisais part de mes malheurs à ceux que je croisais. Ceux qui en était au même stade que moi compatissaient, les plus jeunes ne me croyaient pas, et les plus âgés m’annonçaient qu’il y en aurait encore pleins d’autres. Pour une fois, j’ai préféré ne pas les croire. » « Puis un jour, j’ai réussi à tenir assise toute seule. J’étais très fière de moi. Maman aussi. Pendant des jours et des jours, pleins de gens sont venus voir ma petite prouesse. Alors, tirant la langue, je m’efforçais de rester assise le plus longtemps possible. Quand les adultes me parlaient, tentant d’imiter mes babillements d’une façon maladroite, je leur adressais un grand sourire d’encouragement. Avec un peu d’entrainement, ils finiront bien par y arriver. Puis un jour, plus personne ne vint me voir. C’était comme si, maintenant qu’ils avaient vu que je savais être assise, ils ne s’intéressaient plus à moi. Alors je me suis dit que, pour avoir de nouveau des adultes qui venaient me voir et s’extasier devant mes petites mimiques, je devais trouver quelque chose d’autre. Alors je me suis dit que j’allais apprendre à jouer comme une faut, sans tout casser. Mais en fait, ça n’a pas marché. Même après ça, personne n’ait venu. Maman et papa, eux, ont été contents. Plus besoin de tout réparer tous les jours. » « Puis un jour, je suis tombée malade. C’était vraiment pas rigolo du tout. J’avais même pas envie de jouer, j’avais juste envie de dormir et d’être dans les bras de maman. Je serai mon doudou lapin tout contre moi, et je disais plus rien. J’étais très fatiguée. Maman elle s’inquiétait, alors elle a appelé quelqu’un qui s’appelle Médecin. J’ai trouvé ce prénom très bizarre. Elle lui a parlé dans le truc qui s’appelle téléphone et fait du bruit très fort des fois. Puis y a un monsieur qui est arrivé. Il avait des trucs sur les yeux. C’était rigolo. Alors, même si j’étais très fatiguée, j’ai attrapé les trucs rigolos et j’ai jeté par terre. Puis, comme toujours quand je jette par terre, j’ai applaudit. Mais maman elle a dit non. Maman elle était fâchée, parce que j’ai embêté Médecin. J’étais toute triste, maman elle gronde pas comme ça d’habitude. Je crois que le médecin, elle avait peur qu’il parte. Mais il est pas parti. Il a remis ses trucs sur le nez, et il s’est approché de moi. Alors, j’ai commencé à pleurer. Mais il a pas voulu que maman me console et il a commencé à regarder mes oreilles avec un truc qui fait mal quand ça va dedans. Puis il a mis une lumière devant mes yeux. J’essayais d’attraper le truc qui faisait la lumière, mais il m’en empêchait. Il était vraiment pas drôle, ce Médecin. Puis, il a regardé dans ma bouche. Maman elle l’ouvrait, comme quand elle me demande d’ouvrir la bouche pour manger. Mais elle avait pas la cuillère, maman, alors je comprenais pas. Je crois que les adultes se rendent pas compte que, des fois, ils font des trucs qui nous dérangent. Enfin, il a aussi mis un truc dans ses oreilles et m’a mis l’autre bout du tuyau sur le ventre et sur le dos. C’était froid, et ça chatouillait. Puis, il a parlé avec maman. Je comprenais pas, bien sûr. Mais maman, après, elle semblait un peu triste. J’ai eu des sirops à avaler. Maman elle disait que c’était pour me soigner. Moi j’avais envie de dire que c’était trop sucré. Mais le pire dans tout cela, c’était que le médecin, il devait venir de plus en plus souvent, et j’avais toujours des médicaments. J’étais tout le temps malade, et c’était vraiment pas drôle du tout. » « Un jour, j’étais encore malade, alors maman elle m’a bien habillé, puis on est parti dans un endroit tout blanc. Les murs ils étaient blancs, les monsieurs ils étaient blancs, les madames aussi, et la lumière faisait mal aux yeux, avec tout ce blanc partout. On est allé chez un autre médecin, maman disait. Papa il avait pas voulu venir, je crois que je l’ai déçu, à être tout le temps malade. Il osait plus jouer avec moi, il avait trop peur de me faire mal, maintenant. Mais moi, je veux encore jouer, je suis encore un bébé, moi. Donc voilà, on est allé voir un autre médecin. Maman et lui ils ont parlé longtemps. Ils parlaient de moi, je le savais, alors j’étais un peu fière d’être autant mise en avant. Mais ce médecin là aussi, il a commencé à regarder mes oreilles, mes yeux et tout. Puis il a dit à maman un truc du genre prise de sang. Je savais pas ce que c’était. On a changé de salle, et on était avec une madame très gentille qui m’a donné un jouet. Mais après, la madame très gentille a demandé à maman de me tenir le bras, et elle m’a percée la peau avec un truc qui faisait mal. J’ai pleuré, encore, mais maman elle me consolait pas comme d’habitude. Maman, en ce moment, elle est très triste, je crois. Elle s’inquiète, elle a dit à la madame. Mais la madame lui dit qu’on allait voir ce que j’avais. Je comprends pas vraiment, en fait. Puis la madame, elle m’a mis un pansement tout rigolo, avec des bonhommes dessus. Ca, c’était bien, dans la journée. Puis la madame elle a dit qu’ils allaient faire les a-na-ly-ses et qu’elle pouvait attendre avec moi dans la salle d’attente, ou bien rentrer à la maison et elle enverrait les ré-sul-tats. Maman elle a voulu qu’on attende. Moi j’aurai préféré rentrer à la maison. » « Les résultats, ils étaient pas bons. On a revu le médecin, et il a dit que j’avais une maladie au nom trop compliqué pour que je le retienne. Mais le médecin, il a dit que je devais plus aller chez la nounou, parce que j’allais attraper les maladies de tous les enfants. J’étais triste, j’avais déjà des copains, moi, même si j’étais encore toute petite. On était tous les trois sur le même tapis, et on babillait ensemble. Mais j’ai plus le droit de les voir, parce que sinon je vais être malade. Il a aussi dit qu’on allait essayer des médicaments pour que mon corps il se protège mieux. J’aime pas les médicaments, mais maman elle m’oblige à les prendre, quand même. » * * * * * « J’ai beaucoup grandi, maintenant. J’ai quatre ans. Quatre doigts levés. J’ai une peluche, Moustache, et c’est un lapin tout gris. Je suis encore malade, même plus qu’avant, parce que maintenant, je vais devoir habiter à l’hôpital quelques temps. Le médecin il a dit qu’il pourra mieux me soigner. Le médecin, je le trouve très gentil, et je crois que quand je serai grande, je serai comme lui, mais avec les lunettes en moins. Avec maman, on a préparé un sac avec des affaires. J’ai pris des poupées, mes crayons de couleurs, et aussi un cahier pour dessiner. Maman elle a dit que s’il est rempli, elle m’en achètera un deuxième. J’ai dû dire au revoir au chat du jardin, mais sans le câliner, juste en lui parlant. J’ai dit au revoir au voisin, aussi. Je lui ai envoyé un dessin avec un gros cœur dessus. J’ai même écrit mon prénom dessus. C’est dur, parce que j’ai deux prénoms en fait. J’ai un peu pleuré, parce que c’était mon seul copain, même si on pouvait pas jouer ensemble, à cause de ma maladie. Puis avec maman, on est allé vers l’hôpital, mais pas dans les couloirs tout blancs, non. C’était un endroit avec pleins de couleurs et de dessins sur les murs. Il y avait pleins de photos, et une infirmière m’a dit que c’était tous les enfants qui étaient venus dans le ser-vi-ce. Moi aussi j’allais avoir ma photo sur le mur. Ca m’a fait plaisir, ça. J’espère que je pourrais quand même vite retourner à la maison. » |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Jeu 1 Aoû - 23:56 | |
| Bienvenue! Adorable |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 6:53 | |
| Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 8:56 | |
| Trop mignonne ! Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 10:28 | |
| Merci beaucoup les amis |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 11:00 | |
| trop adorable *-* bienvenue parmi nous |
| | | Lucas J. Russel✉PETITS PAPIERS : 239 ✉DATE D'ARRIVÉE : 17/07/2013 ✉POINTS : 58
Carnet de santé Dossier médical: To do list:
| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 11:19 | |
| Bienvenue ! |
| | | Elsa Roseburrywe're all stories in the end ✉PETITS PAPIERS : 600 ✉DATE D'ARRIVÉE : 12/07/2013 ✉POINTS : 52
Carnet de santé Dossier médical: To do list:
| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 11:35 | |
| Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 15:23 | |
| Merci merci |
| | | Thanatos M. Vassilievskimy skull is full of sunken ships ✉PETITS PAPIERS : 543 ✉DATE D'ARRIVÉE : 16/07/2013 ✉POINTS : 123
Carnet de santé Dossier médical: To do list:
| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 16:34 | |
| Bienvenue ! |
| | | Elsa Roseburrywe're all stories in the end ✉PETITS PAPIERS : 600 ✉DATE D'ARRIVÉE : 12/07/2013 ✉POINTS : 52
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa Ven 2 Aoû - 21:42 | |
| Validée Maintenant que ta fiche est validée, il serait préférable que tu lises le règlement mais surtout le contexte si ce n'est pas déjà fait. Il y a également des annexes mises à disposition pour mieux comprendre dans quel univers évoluera ton personnage. Penses également à aller lire le topic concernant les décès et mariages irp, ainsi que celui sur les changements de groupe, qui pourront s'avérer utiles plus tard. Tu peux désormais aller poster ta fiche de liens, utile pour avoir des relations avec les autres personnage du forum et une une fiche de sujet si tu le souhaites, afin de regrouper tes topics en cours et que l'on puisse t'en demander. Tu peux faire une demande de logement ou une demande de chambre pour les patients internes à la clinique, mais également une demande de rang si tu le souhaites. Si ton personnage travaille au sein de la clinique, penses à aller faire une demande de métier. Si ton personnage travaille ailleurs dans la ville, le même système de demandes a été mis en place. En ce qui concerne le hors-jeu, penses à aller faire un tour dans le flood et les jeux, c'est bon pour l'activité et l'intégration. La chatbox accueille également volontiers les nouveaux. Et sinon, bon jeu parmi nous ! |
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| Sujet: Re: quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa | |
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| | | | quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups. » allie-théa | |
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